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 Lucilla [Terminée]

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Mercenaire
LucillaMercenaire
Lucilla


Messages : 26
Fonction : Ingénieure
Lucilla [Terminée] Empty
MessageSujet: Lucilla [Terminée]  Lucilla [Terminée] EmptyJeu 25 Déc - 18:39

Lucilla


   Nom : Fides
   Prénom : Lucilla
   Âge : 22 ans
   Lieu de naissance : Luvneel
   Race : Humain
   Faction / Grade : Criminel (civile)
   Métier/Rôle sur un navire : Mercenaire
   But : Devenir la femme la plus riche au monde.
   Surnom : Comme vous voulez!
   Mer de départ : Grand Line

   Capacité :
Lucilla était une femme d'actions, elle ne tournait pas autour du pot, et cela se retrouvait dans sa façon de combattre. Experte en armes à feu, elle préférait toutefois les gros calibres. Ce qu'elle ne pouvait cribler de balle, elle le détruisait à coup de dynamite, mais dans tous les cas, ses combats étaient tout sauf discrets. Qu'elle soit au beau milieu de l'action, ou sur une colline à canarder ses ennemis, la belle savait toujours comment tirer parti d'un bon fusil.
C'était sale, ça faisait du bruit, ça causait tout un tas de dégâts collatéraux, mais faire appel à elle, c'était surtout très efficace.

   Description Physique :
Certaine fleure grandisse dans l'adversité, Lucilla en était le plus bel exemple.

De taille moyenne, la demoiselle profitait de la silhouette insolente des femmes dans la fleur de l'âge. Svelte et élancée, elle jouissait de formes suffisamment discrètes pour suggérées la sensualité sans tomber dans le vulgaire. Ses muscles fermes trahissaient sa vie aventureuse, lui donnant ce corps élégant et sportif.
D'ailleurs n'espérez pas voir à ses pieds des chaussures plates, talons et bottines étant en grande partie responsable de sa démarche si particulière. Élégante et voluptueuse, celle-ci rappelait quelque peu les déplacements d'un félin, soit dans notre cas, d'une panthère en haute couture.

Son style vestimentaire, voila un autre élément crucial de sa physionomie. En général, ses bottines noires s'arrêtaient en dessous de ses genoux, mettant en valeur un pantalon noir légèrement feutré, qui, suffisamment près du corps pour mettre en valeur ses jambes, ne tombait pas dans la banalité d'un leggins. Sa ceinture trahissait ses gouts belliqueux, les munitions ne faisant pas des ornements très commun pour la gente féminine. Qu'importe qu'elle emprunte au cowboy, le rendu ne manquait pas de classe.
Une simple chemise cachait sa nudité, l'extravagance de la belle se retrouvant dans un somptueux corset noir. Ses quelques colliers bataillaient avec une écharpe nouée en cravate, donnant un peu d'épaisseur au cou très fin de la demoiselle. Ceci dit, la cerise sur le gâteau restait son fameux béret, un couvre-chef qui à lui seul transformait notre reine du bal en une princesse rebelle. Ça avec une paire de lunette de soleil, et notre victime de la mode pouvait prendre de grands airs, forte d'un style à son image : Farouche.

Sans tout ces artifices, Lucilla aurait pu renvoyer une toute autre image. Sa peau de nacre était exempt d'imperfections. Pas un bouton, pas une cicatrice pour souiller cette blancheur, donnant à l'épiderme une douceur exquise. Ce teint coquet s'accordait parfaitement avec son visage de poupée. Toute ronde, sa figure sortait tout juste de l'enfance. Des joues bien présentes, un nez insignifiant, des lèvres fines, la dame perdait un peu de son piquant, même si ses cils subliment dessinés contrebalançaient ce goût infantile. Sous ses lunettes opaques brillaient deux émeraudes. Ses iris verdâtres tiraient légèrement vers le gris, donnant un regard terriblement expressif à ce joli minois. L'amour, la tristesse, la tendresse, et même le désir se reflétaient si bien dans ses yeux qu'elle pouvait, grâce à eux, se passer de mots.
Une fine chevelure encadrait la face de notre Lumière. Le noir et le rouge se disputaient l'ascendance, donnant à cette crinière le relief nécessaire afin de transformer une simple coupe courte en un exercice de style.

Son apparence comptait beaucoup pour elle, et cela se voyait. On comprenait qu'elle prenait soin d'elle-même, que ce félin aguicheur léchait soigneusement sa crinière. Tant mieux, car avant d'être une meurtrière, avant d'être un papillon fasciné par l'aventure, elle était une femme, aussi belle et fascinante que pouvait l'être les élues du galant sexe.

   Description Psychologique :
On dit souvent qu'il ne faut pas se fier aux premières impressions. Cela ne pouvait être plus faux pour notre charmante criminelle. Elle n'avait pas seulement l'air d'une garce prétentieuse, elle l'était jusqu'à la moelle.

Il y a bien longtemps, Lucilla décréta qu'elle était la personne la plus importante sur terre, et depuis, cette conviction restait inchangée. La jeune femme faisait passer ses intérêts avant tout le reste, et si elle devait piller la veuve et l'orphelin pour arriver à ses fins, elle le ferait. Certain diront qu'elle était têtue, elle préférait se voir comme déterminée. Après tout si le monde ne se gênait pour vous cracher à la figure, pourquoi devrait-elle prendre des gants? Non, elle ne limitait pas ses ambitions, et tant pis si elle bravait les lois, ces dernières n'avaient jamais rien fait pour elle de toute façon.

C'est bien beau tout cela, mais qu'elles étaient ses aspirations? Elle voulait ce que pourchassait tous les hommes : Le pouvoir d'être libre. Chacun choisissant sa route, elle arpentait celle du sang et du crime. L'argent lui apporterait le pouvoir, il la portera au sommet, et là, n'ayant pour limite que le ciel, elle décidera librement de son destin. Aussi, la belle aimait les berrys, elle aimait l'or et les bijoux, elle aimait l'argent sale et facile, celui qu'on empruntait dans une banque, ou encore celui qu'on obtenait en échange d'une ou plusieurs têtes.
N'allez pas croire qu'elle prenait plaisir à tant de méfaits, les cadavres ne lui plaisaient pas plus que ça, même si elle ne rechignait pas à les entasser. En quittant Luvneel, elle avait choisi de museler sa conscience, et elle savait si bien le faire que souvent, son indifférence à la morale passait pour de la cruauté. M'enfin, elle n'était plus à un défaut près.

Malgré cette sombre préface, Lucilla savait se montrer sympathique. Son flegme naturel couplé à un talent pour le cynisme, loin de la rendre pesante, la dotaient d'un splendide humour noir. Elle savait rire de tout, et son côté mégalomane ne l'empêchait pas d'écouter lorsqu'il fallait, et pourquoi pas, de vous réconforter d'une bonne tape sur les fesses. Aussi, ceux qui réussiront à passer outre le masque de mépris qu'elle portait lors d'une première rencontre pourront profiter d'une demoiselle pleine d'esprit.
Toutefois, si elle savait faire la conversation, maintenir une amitié durable était une autre paire de manches. En général, les autres étaient pour elle une denrée périssable : elle en profitait, puis les jetait après utilisation. En soit elle n'avait rien contre un lien un peu plus profond, seulement la pauvre avait quelques problèmes avec la confiance. Rendue à la fois jalouse et méfiante par le milieu de la pègre, elle rechignaient à laisser voir trop profondément en elle, et sincèrement, les gens préféraient rester en surface.

La passion de la mercenaire pour l’ingénierie était de notoriété publique. Si elle restait toujours curieuse de tout, les armes à feux et les explosifs étaient devenus son domaine de prédilection. Quoi de plus normal, aux marchés noirs, on payait bien plus chers une dose de C4 qu'un prototype de ventilateur. Elle avait eu l'occasion de se frotter à la menuiserie, et d’ailleurs, elle ne se débrouillait pas trop mal en tant que charpentière, seulement elle mettra bien plus de soin à la fabrication d'un canon qu'à l'assemblage d'un mât.
Ceci dit, un autre domaine faisait vibrer la demoiselle, le Textile. Elle adorait les vêtements, ces derniers étant d'ailleurs la seule chose qu'elle ne se permettait pas de voler. Capable de dépenser des fortunes pour des habits, la Belle contribuait à elle seule à l'avancée du monde de la mode. Son style avait pour elle une importance cruciale, tant est qu'elle avait du mal à comprendre que ce ne soit pas un de besoins fondamentaux de l'être humain. Inutile de vous dire que prendre soin de sa personne était un prérequis indispensable à toute tentative de séduction.

Voila donc un aperçu de cette chère Lucilla. D'autres particularités méritaient d'être citées, comme sa grande susceptibilité, ou encore son rire si particulier. Sérieusement, elle riait rarement à gorge déployée, mais quand elle le faisait, elle hurlait suffisamment pour couvrir les détonations d'un buster-call. M'enfin, cela restait un des rares moments où la petite fille du Cueille-Fruit refaisait surface, aussi pouvait-elle se le permettre.

   Histoire :
Les plus chanceux d'entre nous vinrent au monde dans des draps de satin, emmaillotés par la soie et le cachemire. Le reste se contentait d'un lit douillet et de la douceur du coton, mais certain n'eurent même pas cette chance.

La paille, voila tout ce que tu eus Lucilla, le reste il te fallut le prendre au Monde.

Autrefois, Luvneel était un soleil. Rayonnant sur la scène internationale, il brillait également dans le cœur de ses habitants, le règne d'un grand roi assurant paix et prospérité à son peuple. Glorieux passé vite oublié, car quand notre Lumière vînt au monde, le fiel d'Henoque avait déjà flétrie cette nation. Le Cueille-fruit fut son gîte. Ce bâtiment fort discret cachait, derrière ce nom insignifiant, une maison de passe. Attention, nous parlions d'un bordel de noble facture : une maquerelle prenant bien soin de ses protégées. Ici on formait une grande famille, et même si on ouvrait les jambes, cela n’empêchait pas se serrer les coudes.
Lucilla naquit dans une étrange famille. Elle n'avait pas de père, mais ne manquaient pas de mères, et ces femmes formidables prirent admirablement soin d'elle. La petite vivait avec peu, mais son éducation ne fut pas tout à fait délabrée. On lui enseigna à lire, écrire, et compter, on lui enseigna la malice, et toute ces choses qu'on apprenait au fond du sépulcre. Notre bourgeon grandissait dans l'ombre, protégé par ses harpies.

Son milieu ne lui offrait pas le luxe de la vertu, d'ailleurs, elle apprit bien vite qu'un fusil bien chargé valait bien mieux qu'une conscience tranquille. La vie n'était pas tendre dans les bas-fonds de Luvneel, la misère croissante ne tardant pas à échauffer les esprits. Les femmes de peu de vertu apprirent rapidement à renvoyer les clients trop prétentieux, familiarisant involontairement la fleure naissante avec la violence. Seulement la jeune fille avait un autre atout dans sa poche : Son sens de l'observation. Curieuse de tout, elle savait se faire discrète, et capter les subtilités du monde par ses grands yeux vert. Par cela elle comprit bien vite que la force brute n'était pas l'outil primordial à la survie, car après tout qu'importe la force de tes bras, l'intellect restait la différence entre les marionnettes, et les hommes libres.

Tout d'abord, tu t'extirpas des sentiers battus : il te fallait ta propre route.

"Non!" Elle le clama haut et fort, et du haut de ses treize ans personne ne lui fit changer d'avis. Son corps commençait à changer, et la maîtresse de maison eusse aimé l'initiée à l'activité du domaine. Non, rien n'y fit, et ce qui passa d'abord pour des caprices d'enfants devint rapidement un problème pour la gérante du Cueille-fruit. Même si ce fut de bon cœur, s'occuper d'un enfant avait demandé moult sacrifices, et qu'importe ce qu'elle voulait ou ne voulait pas, Lucilla ne pouvait tout simplement pas s'offrir le luxe de flâner.
Alors elle travailla. Elle ne s'occupait pas des clients, mais du lieu en lui même, et étrangement, elle s'avéra fort efficace. Qu'il s'agisse d'une fuite dans le toit, d'un problème de plomberie, notre autodidacte trouvait une solution, son intelligence couplée à sa débrouillardise lui permettant de s'extirper de son triste destin. Le bordel reprenait des couleurs, et même si l'argent économisé n'équivalait pas à l'activité d'une nouvelle fille de joie, cela suffisait, pour l'instant.

Notre adolescente c'était très vite passionnée pour le bricolage, et cela ne s'arrêtait pas simplement à réparer la toiture. Quand elle avait l'occasion, elle étudiait de vieux fusils, des den den mushi défectueux, et toute autre chose lui tombant sous la main. De temps en temps, elle sortait du bordel afin de louer ses services. Une de ses escapades l'emmenant un jour s'occuper d'une chaudière. Sacrée chaudière... il lui fallut plus d'une semaine pour comprendre, à peu près, le fonctionnement de la chose, et une autre pour s'apercevoir qu'il s'agissait tout simplement d'un problème d'évacuation de la vapeur. Hélas, elle n'avait jamais réussi à se faire engager sur le port, mais les rares visites qu'elle y fit lui apportèrent cette certitude : un jour elle aussi s'en ira sur ces géants de bois et de toiles. D'ailleurs, la petite avait prit l'habitude d'économiser, même si, vu son train de vie, il lui faudrait plus d'une vie pour récolter de quoi arpenter l'océan.

Jusqu'alors, le Cueille-fruit avait réussi à passer sous le nez du Roi, mais cela ne dura pas. Une énième course de Lucilla finit par attirer l'attention d'un des vautours d'Henoque, et lorsque le courtisan demanda à celle-ci d'où venait une si jolie fleure, l'ingénue ne pu s'empêcher d'emmener ce serpent dans son nid. Le souverain aimait les belles femmes, et ce bordel en regorgeait. Il ne fallut que peu de temps pour que des gardes se présentèrent aux portes : son Altesse venait faire sa cueillette.
Étonnamment, personne ne fut emmené au palais, après tout, pourquoi prendre cette peine alors qu'il pouvait tout simplement, quand l'envie le prenait, descendre consommer l'objet de ses désirs? Or, il consomma, abusivement, et évidemment, aux frais de la maison. La situation était tendue mais supportable, et cela aurait pu perdurer, seulement notre jeune fille ne cessait de grandir.
Du haut de ses 17 ans, elle était devenue une femme, une belle et somptueuse jeune femme. Pendant tout ce temps, elle avait dompté sa beauté, et dans la mesure de ses moyens, elle avait déjà ce style à la fois classe et aguicheur, ce mélange de cannelle et de vanille qui lui donnait toute sa saveur.  Lucilla brillait dans le sépulcre, et le moment vînt où le roi remarqua cette lueur étrange. Il en avait le pouvoir, il en avait le droit, alors pourquoi ne pas tenter ce met nouveau?

Pour sortir du sépulcre, il te faut des cadavres. Des morts sur qui marcher, du sang contre ta liberté.

"Non!" Encore une fois il retentit, un refus tout aussi catégorique, mais bien plus lourd de conséquences que durant son enfance. On ne refusait rien à un monarque, et encore moins à celui-là. D'ailleurs, bien trop surpris pour s'énerver ce dernier se contenta de rire, et se levant, il alla chercher son du. Une clef à molette l'envoya au tapis, Lucilla apprit alors le prix de la Rébellion, le coût de la Liberté. Évidemment, les gardes réagirent, et instinctivement, les harpies du Cueille-fruit défendirent leur bébé. Il était aisé de repousser un ivrogne ou autre brute de pacotille, mais des gardes royaux s'avérèrent bien plus coriaces. Seulement voila, envers et contre tout, une mère protégeait son petit.
Le sang versé calma les ardeurs, et sans grande surprise, les furies furent matées. Seulement, lorsqu'on chercha la fautive, elle avait disparu, emportant avec elle la caisse du Bordel. Si la trahison avait un goût amer, celle-ci puait la bile. Seulement voila, notre Lumière avait fait son choix, et ses larmes alors qu'elle s'enfuyait vers le port ne furent pas moins sincères que celles de la famille qu'elle venait de poignarder Elle avait grandi dans l'ombre, et aujourd'hui plus que jamais, son cœur embrassait les ténèbres.

La jeune femme réussit à négocier son passage sur un navire, la destination? Qu'importe, tant qu'on partait tout de suite et ne posait pas de questions. D'ailleurs elle ne se posait aucune question, ou plutôt, elle s'en posait trop, et décida d'en faire abstraction. Au fond d'elle-même, elle l'avait toujours souhaité. Elle ne s'était jamais contenté de vivoter dans la médiocrité. Pourquoi ramper, pourquoi se contenter d'une boue crasseuse quand on pouvait voler? Elle venait de déployer ses ailes, et sur la chair et le sang, elle prit son envol.

D'un navire marchand elle passa au pavillon noir, du pavillon noir à un autre, de ce dernier à une île. La Belle ne s'embarrassait pas d'aucune allégeance. Elle papillonnait, louant ses services pour toute sorte de chose plus ou moins légale. De toute-façon, elle n'avait pas vraiment le choix, le bon roi de son pays natal ayant jugé bon de mettre une prime sur sa tête. De rien chère monarque, notre oiseau de nuit vivait fort bien dans le monde de l'ombre. Sa conscience se faisant toujours plus permissive, Lucilla ne défendit bientôt plus qu'une seule cause : La sienne.

Ne laisse rien brider ta splendeur. Croque profondément dans la vie, ne laisse aux mondes que des os.

Vingt-deux ans hein? Te voila bien changée petite fleure. Tu n'étais plus un coquelicot à peine éveillé, mais une rose dont les épines ne cessaient de blesser la foule de prétendants. Certes tu avais toujours pris soin de toi, mais l'argent sale dont tu raffolais tant te permettais de rayonner avec autre chose que du bas de gamme. Plus que par ton manque de scrupules, on te reconnaissait désormais par ton style, car peu de criminels arpentaient les mers avec les grands noms de la mode. Ne disait-on pas que le diable s'habillait en Pradal?
Ton expertise avait elle aussi évolué. Tu ne réparais plus de chauffe-eaux, tu fabriquais des explosifs. D'ailleurs, on ne te considérait plus comme une mécano, mais comme une ingénieure. Aujourd'hui comme hier, nul équipage n'avait su s'octroyer ta fidélité, tu travaillais pour l'argent, vendant tes services au plus offrant. Pourtant étais-tu réellement contre l'idée d'avoir des alliés? Nombreuses furent les occasions où ils auraient été utiles. Cependant, tu avais beau le savoir, personne ne t'avait fasciné au point de t'enchaîner à lui.

Attention fille d'Icare, ne te brûle pas les ailes.
   
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LucillaMercenaire
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MessageSujet: Re: Lucilla [Terminée]  Lucilla [Terminée] EmptySam 27 Déc - 11:08

Présentation terminée!
Merci pour la lecture!

ps : Est-il possible de déplacer ma présentation dans le camps des civils?
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Mika TaylorMembre
Mika Taylor


Messages : 123
Fonction : Médecin
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MessageSujet: Re: Lucilla [Terminée]  Lucilla [Terminée] EmptySam 27 Déc - 20:02

Hello Smile

Bon, rien à redire de ta fiche. Bonne écriture, très fluide, assez original Smile Toutefois, il y a deux, trois fautes faciles à éviter - "n'équivalait pas à l'activité d'une nouvelle fille de joie", "De rien chère monarque" (on parle d'un roi) et d'autres que je ne relèverai pas, parce que toutes ces fautes sont minimes et pas du tout nombreuses Razz fais quand même attention pour tes RPs futurs ^^

Du coup je t'accorde 175 PA, un autre staffeux viendra entériner ta validation avec un second avis Smile

Bonne soirée Smile
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SilencePirate
Silence


Messages : 334
Fonction : Second
Localisation : Avec ta femme
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MessageSujet: Re: Lucilla [Terminée]  Lucilla [Terminée] EmptySam 27 Déc - 21:30

Mika a tout dit, elle fait bien son travaille cette petite dit donc. Le personnage est très bien construit. Il a des traits un peu classique, mais tu as su sortir de l'archétype de la fille jolie/tropforte/roseàpiquant et faire quelque chose d'original. Tu as un très bon style d'écriture, fluide et agréable à lire. Bref, une très bonne pres'.

Pour les Pa, de même que Mika, 175 PA, ce qui te permet donc de commencer avec ce total. Pas de prime, tu es une mercenaire, qui sait rester discrète, du moins pour le moment mais fait attention avec qui tu traînes ! Quant au surnom : bombing queen
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