Nom : Hellion
Prénom : Jynn
Âge : 20 ans
Lieu de naissance : Water Seven
Race : Humaine
Faction / Grade : Matelot
Métier/Rôle sur un navire :Matelot, je touche un peu à tout. En effet j'ai les bases en médecine, en mécanique, en navigation, etc.
But :Que les gens autour de moi soient heureux
Surnom : Jy'
Mer de départ :Grand Line

Capacité : Sabreuse


Description Physique :
La première chose que vous allez remarquer chez moi c'est ma petite taille. Dans ce monde il y a des personnes qui sont normaux, d'autres plus grands que la moyenne et enfin il existe des géants. Mais il y a aussi des gens qui comme moi sont petits, ce n'est pas du haut de mes 1m50 que j’impressionne beaucoup de monde. Mais c'est ainsi. Pour remedier à ce petit problème je porte la plupart du temps de grandes botes blanches à talons hauts (accordé à mon uniforme bien entendu) car en effet je fais parti de la marine et je suis fière d'en faire partis ! Je porte tous les jours mon uniforme, même pendant mes jours de vacances. Mais il est vrai que pour de rares occasions je peux m'habiller différemment.

J'ai les cheveux très courts et ceux depuis ma naissance. Mais ce n'est pas moi qui les coupe. Disons que c'est devenu un petit rituel entre lui et moi. Même si ce n'est plus la même main que dans mon enfance qui tient les ciseaux, c'est comme si c'était la même personne. Mais si vous voulez en savoir plus il faudra lire mon histoire. Du coup mes cheveux sont toujours bien coiffer. Mais croyez moi c'est bien grâce à lui, car sinon  ils seraient vite remis en mode "sauvage".

Une visage fin. Des yeux en amandes au couleur sombre. En fait on discerne à peine ma pupille au milieu de l'iris. Mais au soleil ils abordent de jolis reflets rouges.
Je n'ai pas un corps dit de femme : pas de poitrine superdévelloppé comme pourrait avoir certaine, ou même un fessier ultra rembouré. Je ne suis pas plate comme une planche à pain, mais ce n'est pas loin. Mais je peux vous assurer que c'est beaucoup plus pratique pour le combat.

En effet grâce à cette petite taille et ce peu de formes, j'ai acquit une vitesse de déplacement assez efficace, et je suis beaucoup plus dur à toucher. Beaucoup de mes adversaires n'ont pas l'habitude de rencontrer quelqu'un d'aussi petit.
Je me bat avec un Katanas. Si vous voulez connaitre son histoire il faudra lire la mienne. Il s'agit d'une des 50 lames de qualité supérieur. Sakura. On le nomme ainsi en raison des fleurs de cerisier gravées sur sa lame. L'autre particularité c'est qu'il est aussi léger qu'un pétale de cerisier flottant au grès du vent. Très peu de personne pourrait le manier efficacement à cause de ce point. Une force surhumaine ne sert à rien, il faut au contraire des gestes précis et une douceur parfaite. Je ne pouvais pas le maîtriser jusqu'à un moment précis de ma vie.
Je possède aussi un petit poignard que j'ai toujours sur moi, mais je ne l'utiliserais plus jamais. Il est là pour me rappeler les erreurs que j'ai commises par vengeance.

Comme vous vous en doutez je ne suis pas très forte physiquement. Si dans un combat, mon adversaire me fonce dessus s'en serra vite fait de moi. C'est pour ça que ma technique réside surtout sur l'esquive et l'attaque surprise. En combat face à face sans ruse j'ai peu de chance de gagner.

J'ai un une voix plutôt douce. Une voix féminine quoi. Une voix qui généralement attire la confiance des gens.
Et enfin j'ai presque toujours un grand sourire sur les lèvres.


Description Psychologique :
Beaucoup de gens qui ont subit des choses horribles dans leur vie ne s'en sorte généralement pas bien psychologiquement. Ils deviennent fous et ont souvent des personnalités très changeantes. Ce n'est pas mon cas. Certes à un moment de ma vie je ne voyais que du noir et je ne savais plus comment m'en sortir. Mais grâce à lui et à ma foi, je suis ici.

En effet je suis d'abord une grande croyante. Le Marinisme est très important à mes yeux et j'y crois dur comme faire. Depuis quelques années je ne peux plus autant pratiquer qu'avant, mais je reste toujours aussi croyante. Je prierais sans cesse la déesse de la mer Econa, et le dieu du ciel Diyeuz.

C'est pour ceci que je déteste en grande partie les possesseurs des fruits du démons. Et je trouve ça impensable de vouloir se priver de nager et donc risquer sa vie sur un navire pour un petit pouvoir !


Il y a autre chose que je déteste dans ce monde les pirates. Je fais parti de la marine et j'honore mon camp en combattant fermement la piraterie chaque jour. Et je n'ai donc pas le même caractère face à un pirate qu'un civil ou autre marins. Je m'oppose aussi au révolutionnaire qui veulent à tout prix changer notre monde alors que celui-ci est tout simplement parfait. La hiérarchie marche, il n'y a rien à changer si ce n'est faire disparaitre la criminalité de notre monde.

Le crime emmène la guerre, la guerre emmène le malheur. Je n'ai pas un but qui sera toujours impossible à atteindre, comme la paix dans le monde. Mon but est beaucoup plus simple à réaliser : faire en sorte que toutes les personnes autour de moi soient heureuses. Au début ce but était surtout là pour me pardonner  mes fautes, mais aujourd'hui ce n'est que bonnes intentions. Je me préoccupe toujours des autres avant moi. Et il est même parfois de me rappeler à l'ordre car je serais capable de sacrifier ma propre vie si je pouvais sauver celle de beaucoup d'autres par la même occasion.

Mon discours est donc toujours calme et posé. Je ne cherche pas le conflit. Je suis franche quand il le faut et je pèse mes mots au bons moment. Toujours pleine de bonne petites attentions je fais attention au moindre petit détails. Et enfin je fais tout pour attirer la confiance des gens afin de pouvoir mieux les aider par la suite.
Enfin ceci est mon caractère face à un civil ou un compagnon marins.

Face à mes supérieurs je suis toujours franche, jamais de mensonges, je respecte la hiérarchie et ne discute pas les ordres (sauf si ces derniers m'obligent à faire du mal à des innocents).


Face à un pirate ou un révolutionnaire mon attitude sera tout autre. Froide, sans aucune émotion dans mon visage, mon sourire disparaitra. Je vous ferrez vivre comprendre que mon but est de vous arrêtez. Pas de vous tuer attention, je pense que même un criminel à le droit un un jugement juste devant la loi. Je serais aussi méfiante et analyserai toujours vos paroles et actes avant d'agir choisissant toujours la meilleur option s'offrant à moi.

Face à un possesseurs du fruit du démons je resterais sceptique. Ma haine sera toujours présente en raison de ma religion, mais pourtant beaucoup utilise leur pouvoir pour faire le bien... Donc je resterais méfiante au premier abords et en fonction de vous, ma vision évoluera ou non.

Enfin en combat je ne suis pas du tout la même personne que dans la vie de tous les jours. Peut importe mon adversaire je serais sans pitié. Ma gentillesse disparait. Je deviendrais presque une machine de guerre. Pourtant mon physique m'impose une certaine façon de combattre. Je ne fonce pas tête baissé, je n'attaque normalement jamais la première. Je cherche toujours les failles de mon adversaire et esquive le plus possible profitant de mon agilité naturelle. Mes gestes ne sont pas brutaux mais au contraire léger et précis. Vous savez j'ai appris que le style de combat collait beaucoup avec la personnalité de la personne. Plus jeune je combattais avec seulement l'envie de taper sur quelque chose, mon style était grossier, mon âme n'était pas en paix. Aujourd'hui, c'est tout le contraire, un style léger, des coups précis, je suis en paix avec moi-même.

J'aimerais ajouter quelques petites précisions. Plus jeunes je voyais souvent un fantôme de mon passé venir à moi. Aujourd'hui il n'apparait que très rarement et toujours dans des situations vraiment critiques.
Enfin il y a autre chose qui me tient à cœur : une petite broche toujours accrochée à mon uniforme. Elle représente deux branches de cerisier s’entremêlant. Il s'agit d'une souvenir très précieux à mon cœur.
Je ferrais tout aussi pour ne pas me retrouver avec des responsabilités. Je ne veux pas avoir un grade dans la marine, même si je sais que ça représente beaucoup pour certains, pour moi c'est une torture. Je n'ai pas été capable de le protéger, j'ai commis des choses horribles, je ne peux pas être responsables de la vie de plusieurs Hommes. J'en suis incapable.
Et enfin concernant mon petit poignard, il est tâché de sang, et je ne l'utiliserais sans doute plus jamais. Mais je le garde à ma taille pour me rappeler à quel point j'ai souffert et ai été dure et que malgré tout ça la vie m'a offert une seconde chance. C'est une façon comme une autre de se rappeler le passé et ne plus jamais refaire les même erreurs.


Histoire :

Je cours à toute allure manquant de tomber à plusieurs reprises cherchant sans relâche un moyen de m'enfuir. Toutes les fenêtres sont fermées, m’empêchant l'accès direct à l'extérieur. Je sais qu'ils vont bientôt arriver à chaque bout de ce long couloir. Se serait fichu... Il serait mort pour rien. Une porte sur ma gauche. Elle n'était pas fermée. Je rentre sans réfléchir et ferme le loquet par simple réflexe. je colle mon dos au mur. Une larme coule le long de ma joue. je l'efface d'un revers de la main aussi vite qu'elle est apparue. Je ne peux pas permettre à  mes émotions prendre le dessus. Je devais d'abord fuir. Fuir loin d'ici comme il me l'avait demandé. Je regarde dans la salle. Une fenêtre ouverte juste en face de moi. La chance avait-elle en fin tournée ?

Je commence à avancer vers elle. Mais ma tête est attirée par autre chose. Dans un coin de la pièce une vitrine. A l'intérieur un katana. Je me rapproche comme si la lame de l'arme m’appelait. J'avais vu quelqu'un manier cette épée étant plus petite. Mon père ? Son grand-père ? Je ne me rappelle plus très bien, mais or de question de leur laisser un souvenir de plus ! Je ferme mon poing. L'instant d'après il est couvert de sang. J'avais exploser la vitre avec. Ma main en sang attrape l'arme. Elle est légère. Beaucoup plus légère que n'importe qu'elle autre lame que j'avais déjà tenue.

Ils essayent de défoncer la porte de la pièce. Je les entends hurler derrière. Je sers très fort la proche accrochée à ma veste. Il faut que je parte. Il faut que je parte. Je dois ignorer la douleur. MAINTENANT !

Je fonce vers ma voix de secours. Plus cette fenêtre se rapproche de moi plus je sens ma liberté arriver. La porte s'ouvre. Je les entends hurler. Je saute par delà la rambarde.




J'ai toujours vécu heureuse étant petite. Une famille sans soucis. Pas de problème d'argent. Nous avions beaucoup d'économies, mon père venait d'une famille aisée. J'ai été élevée dans l'amour et la gentillesse de mes parents. J'avais un frère jumeau. Jima. Nous étions proche. Inséparable. Toujours ensemble. J'ai vécu l'enfance la plus paisible au monde recevant une éducation parfaite.

Nous vivions dans un quartier riche de Water Seven. Ma mère venait d'une famille où la religion était au cœur de l'éducation. Je fus habituée dès mon plus jeune âge à prier la déesse de la mer Econa. La religion était donc aussi au milieu de notre vie, et s'il ne c'était pas passé ce qu'il c'est passé, moi et mon frère aurions voulu devenir prêtres.

Mais un jour le bonheur pris fin. Mon père tomba gravement malade. Plus de bonheur. Plus de rire. Notre grande maison semblait vide, triste.
Ma mère était tous les jours à son chevet oubliant parfois de manger. Quand à moi et Jima nous faisions des aller-retours entre le temple et le la chambre de nos parents. Nous avons prié chaque jour afin que nos Dieux stoppe sa maladie. Nous voulions que notre bonheur revienne. Mais nos prières restèrent sans réponse. Et un mauvais jour de tempête, notre bonheur pris définitivement fin.

Il s'était éteint pendant la nuit. Tout était fini... Ma mère perdit sa fois. Elle s'enferma dans sa chambre restant, là, simplement allongée, pleurant chaque jour les larmes de son corps. Mon frère ne pensait plus lui aussi, que nos Dieux existaient. Pourquoi l'auraient-ils laissé mourir sinon ? Moi... Je ne savais plus. Je ne savais même plus qui j'étais... Je ne savais plus... J'aurais sans aucun doute fini comme ma mère si la main de mon frère n'avait pas été là.


Ma mère fini par se laisser mourir de tristesse. Nous avions 12 ans et jamais plus notre vie serait comme avant.



Un oncle et une tante éloignés de notre père. Se furent nos parents d'adoptions... Au début tout nous sembla normal. Ils essayaient d'être gentils avec nous. De nous remonter le moral, de nous dire que tout allait s'arranger. J'ai voulu les croire... Plus les mois passaient plus je redevenais la fille que je devais être. De nouveau un petit sourire s'affichait sur mes lèvres. Et plus les jours passaient plus ma fois revenait. La chance était de notre cotée ! Même si nous avions endurer la mort de nos deux parents nous allions pouvoir redevenir heureux. J'étais peut être trop optimiste à cette époque...

Mon frère s'éloignait peu à peu de moi. Lui broyait du noir tous les jours. Il n'avait plus de fois. Il n'avait pas confiance en l'avenir... J'avais tenté plus d'une fois de lui remonter le moral... Mais sans jamais aucun succès...

Un jour je décidai qu'il était de nouveau temps pour moi de retourner au temple. Je serais seule, mais je pourrais prier pour mon frère. Je devais lui faire retrouver la fois... Mais tout ne se passa pas comme prévus. Avant que je puisse pousser la porte d'entrée, mon père adoptif se plaça entre elle et moi.

"Où vas-tu comme ça ?"

"Prier au temple, pourquoi ?"

Je reçus une gifle monumentale qui me fit valser jusqu'au mur. Ma tête cogna contre celui-ci. Je perdis connaissance.


A mon réveil je compris les réelles intentions de ces "parents adoptifs". Ils avaient toujours été jaloux de notre famille. Depuis qu'ils nous avaient adoptés, je n'y avais jamais fait attention, mais nous n'étions jamais sortis d'entre les quatre murs de notre maison. Et ils ne voulaient pas qu'on parte... Ils voulaient se venger de nos parents en rejetant tout sur nous. C'est à compter de ce jour que je me rendis compte d'une autre chose. Avec moi ils avaient été gentils jusque là, mais mon frère...Je compris ce jour-là que Jima me protégeait dans l'ombre. Il avait conclu un marché avec eux à leur arrivé...  Après qu'ils l'aient fait souffrir, il leur avait demandé de ne jamais me faire subir ça, il leur avait dit qu'il prendrait deux fois plus de coups en échange... C'est ainsi que je compris pourquoi il broyait autant du noir... Mais ma vie changea de nouveau....Ils avaient pensé que j'avais compris le manège et maintenant ils ne prenaient plus en compte le marché avec mon frère... Je souffris moi aussi...



Pendant 3 ans... pendant 3 ans sans relâche je priais nos Dieux de  nous sortir de cet enfer... 3 ans de douleurs... 3 ans à entendre mon frère hurler de douleur dans la pièce d’à côté sans jamais pouvoir sortir et aller l'aider... 3 ans de souffrance... 3 ans pendant lesquels je me retrouvai à plusieurs reprises presque mourant au milieu d'une pièce sur le sol glacial...
Et puis ce jour arriva...

Il était assez tôt, enfin je pense qu'il était tôt vu que les oiseaux chantaient à l'extérieur... Mais je n'avais plus de notion du temps... Ils vinrent me chercher. Ils me tirèrent violemment et me poussèrent jusque dans une autre salle. Ils me ruèrent encore une fois de coups... Je ne pouvais pas me défendre, je n'en avais pas la force... Je crachai du sang tant les coups étaient violents... Ma vue se brouilla. Des larmes ? Je les entendais à peine ricaner tant la douleur me donnait mal au crâne... Comme un marteau que se fracasse à temps régulier contre l'intérieur de mon crâne. Je levai la tête vers eux.

Je voulais implorer qu'ils arrêtent... C'est à cet instant que je vis quelque chose briller dans leur main... Ils avaient ajouter quelque chose aux autres jours. Et je sentais que le prochain coup allait m'être fatal. Je fermai les yeux. Une larme coula. Ils comptaient me tuer...

"Jynn !!!"

Tout c'était passé très vite... J'avais à peine eu le temps de rouvrir les yeux que je vis mon frère se jeter sur moi. L'un de nos tortionnaire abattu le petit poignard. Mon frère tomba devant moi...

La scène n'est jamais clair dans mes souvenirs... Jima avait tendu le doigt vers la broche de notre enfance et m'avait murmurer :

"Vie heureuse pour nous. Sauve-toi !"

Et sans même pouvoir lui dire au revoir je m'étais levée et avais couru aussi vite que possible ignorant par tous les moyens la douleur... Je ne l'avais pas vu pousser son dernier soupire... J'étais partie sans le voir en paix... Je m'en suis voulu terriblement...



Après ma fuite par cette fenêtre. Je n'avais plus qu'une chose en tête : la Vengeance !


Chapitre III : Vengeance

Chapitre IV : Fois

Chapitre V : En mer