Nom : Prénom : Amandja
Âge : 26 ans
Lieu de naissance : East blue
Race : Humain
Faction / Grade : Révo
Métier/Rôle sur un navire : But : Stoppé l'esclavage
Surnom : Mer de départ : South blue
Capacité : Des poings massifs La boxe et un style rudimentaire de jiu-jitsu militaire
Neko Neko no mie : Zoan panthère noire
Description Physique :Amandja est un homme à la grande stature, il mesure presque deux mètres de long. C'est vrai il est loin d'avoir un physique fil de fer, bien au contraire, il est musclé à extrême, en plus de sa grande taille il est équipé de cent kilos de pur muscles et de testostérones. Redoutable de loin, intimidant de près, les nombreuses balafres et cicatrises sur son torse et même son visage rends son apparence encore plus sauvage et guerrière. Son corps parle pour lui, on voit qu'il à vu de nombreuses batailles et ses plaies montre sa détermination à resté en vie. Il a également une condition physique incroyable, il peut courir longtemps en gardant un rythme soutenu, il était autrefois un excellent nageur, mais son fruit du démon lui à privé de cette capacité . Il s’entraîne également dés qu'il le peut, des heures parfois à taper contre un arbre pour forger sa vigueur et forger sa capacité à encaisser la douleur. Son plus grand point faible en réalité reste son manque de précision ainsi qu'une vitesse de frappe ralenti par son imposante masse musculaire.
Amandja est un homme qui là peau ébène est sombre comme la nuit, c'est assez peu commun, mais comme sa mère et son père sa peau reflète ses origines d'un peuple qui a souffert de cette différence là, mais peut importe au final, il cultive cette distinction pour en faire une barrière. Les yeux d'Amandja sont d'un brun cuivré, mais quand il prend alors sa forme hybride, ses yeux deviennent des lucioles d'un jaune presque orangé, des lumières capable de voir dans une obscurité presque total. En dessous des yeux ont peut voir trois traits légèrement arqués, comme en dessous de sa bouche charnue. Se sont des marques tatoué à l'ancienne, des tatouages qui montre la peine qui à autrefois rencontré, cette starification lui rappelle qu’il survit à l'enfer et qu'il ne doit pas abandonner . On remarque une balafre importante également dans le coin inférieure de son œil gauche, c'est un éclat de bois qui faillit le rendre borgne pendant le naufrage d'un navire sur lequel il était prisonnier ... Amandja préfère avoir le crâne rasé par soucis pratique plutôt qu’esthétique.
D'ailleurs la plupart du temps sa crâne est recouvert par une capuche, qui dissimule la majorité de son visage.Il porte également un manteau à bras nues, de cuir gris avec de léger teinte bleuté en harmonie avec sa capuche.Les fermoirs sont des couleurs dorés qui donne un touche de luxe dans son accoutrement improvisé. Ce manteau descente alors jusqu'aux genoux qu'il lui offre une protection minime au coup. En dessous il porte une simple chemise en toile déchiré au manche lui laissant les bras nue. Ses avants bras son protégés par des plaques de cuir et rembourré de coton. À la taille il porte une étoffe rouge serré en guise de ceinture. Sinon il porte un pantalon ample de toile, de couleur beige, résistant à à l'usure et le protège du froid, il porte de grandes bottes qui lui couvre les mollets. Amandja porte cet accoutrement par soucis de discrétion et pour sa liberté de mouvement, bien qu'il soit difficile d'être discret quand on a la carrure d'un ours...
Description Psychologique :Amandja était autrefois assez sociable, il était aimé par ses camarades de la marine, les gens apprécié ses conseils et sa loyauté dans le combat , il était un soldat qui agissait pour le bien commun et pour la réussite de l'escouade, ne cherchant ni gloire ni honneur. Cette même loyauté à fini par lui causé du tord, il rejoignit alors le chemin de la révolution, qui finit par faire écrouler son monde en laquelle il croyait depuis son enfance. aujourd’hui Amandja évite les relations sociales en tout genres, tout simplement car il ne veux plus être reconnu, les autorités du gouvernement le croient morts et c'est bien mieux ainsi, il ne peut se permettre d'être reconnu par un ancien collègue de la marine. C'est devenu un homme solitaire, qui ne déplace pratiquement plus de jours, profitant alors de la nuit pour pouvoir se déplacer et agir en toute discrétion.
Bien que ça naïveté la mené à sa perte, il garde en tête cette erreur, ses convictions en la justice et à l'égalité n'ont pas changé, pour lui c'est plus que des théories, c'est son credo, ce qui guide son bras et ses jambes, il à juste quitté son uniforme blanc pour combattre cette institution mensongère. Il a donc appris à ruser, à mentir pour arriver à ses fins, il à appris à utilisé les armes de ses anciens bienfaiteurs qui était le gouvernement mondial.Il est donc devenu assez timide, voir complètement insociable. Il a une tendance à ne plus parlé, ou parfois dans ses moment d’égarement il voi alors Max en sorte d'hallucination, et là il se met à parlé seul et à craché sa haine à Max d'avoir détruit sa vie avec tant de fracs et de violence. Il doit parfois calmé sa névrose prononcé par la boisson, drogue ou en filles de joie, c'est pour lui ses seules échappatoires pour ne pas sombrer dans une profonde dépression voir à l'aliénation la plus totale...
Amandja à une sainte horreur de la violence, du moins celle qui est gratuite, il n'aime pas les pirates car la plupart sont violents et égoïstes, cherchant des chimères comme la gloire et la puissance. Amandja est profondément altruisme, il utilise sa force et ses capacités pour protéger l'honneur et intégralité des plus faibles. Les années de service au sein de la marine on fait de lui quelque érudits, il apprend beaucoup, il lit, étudie mais pas par soucis de curiosité mais pour être le plus efficace possible, il a autrefois choisi une voie sans avoir réfléchit vraiment, ce qu'il lui à coûté énormément, deux fois aux portes de la mort et une séance de torture qu'il n'est pas prêt d'oublié …
Mais secrètement il espère rencontré des personnes luttant pour les mêmes valeurs que lui, car il sait que vivre seul et agir seul ne le mènera nul part, personne ne peut renverser un gouvernement si puissant tout seul. La solitude ne lui sied guère, cela relève une personnalité qu'il n'aime pas voir, fourbe et sombre, qu'il tangue dangereusement vers le gouffre qui est la folie. Quand un homme Amandja à cru pendant presque plus de vingt ans à une institution qui à détruit sa famille, la chute fût rude ; son âme avait était brisée, et de toute ses cicatrises, c'est celle là qui à le plus de mal de se refermer. Il pense à ça chaque jour au levé du soleil et même quand il dort son passé le hante.
Histoire :Amandja, n'a connu que douleur et drame, il est né dans le sang de ses proches... Autrefois ses parents étaient des militants pour la paix et défenseurs de la liberté, mais ils étaient considérés comme des êtres dangereux pour le gouvernement mondial, son père Malgor était un ancien marin et marchand il parcourut et découvrit de nombreuses îles, c'est d'ailleurs pendant une des missions commerciales qu'il rencontra Amésiste. Elle était docteur et voyageait également pour donner les soins au plus démunis et ceux qui n'avaient pas accès. Ils vécurent heureux, un temps mais une guerre éclata et ses parents prirent alors le parti des révolutionnaires. Amésiste était engagée, elle voyait le malheur que la marine fît partout dans le monde. Malgor installa vite un trafic clandestin pour pouvoir fournir les soldats révolutionnaires en matières premières ainsi qu'en vivre, il organisait des voyages également pour mettre à l'abri les ennemis du gouvernement mondial. Mais la guerre était presque finie, la révolution s'essoufflait, les partisans et émissaires se dispersèrent un peu partout dans le monde. Le couple se résignèrent alors à laisser les combats de côté, pour fonder une famille, ils trouvèrent alors un terrain sur East Blue, un endroit calme éloigné des gros bonnets du gouvernement. Amésiste devenue rapidement le docteur de l'île, tandis que Malgor ouvrir une compagnie de pêche et de petits transporteurs maritime. Bien que le mouvement avait complètement disparu ils gardèrent quelques contacts et étaient prêts à agir en tant qu'agents dormants.
Neuf années passèrent, Amésiste avait eu une fille, Edwelle et elle attendait alors un autre enfant.Les affaires roulaient pour Malgor. Amésiste avait réussi à trouver quelques infirmières et elle avait installé une modeste clinique sur l'île, pour que tous puissent avoir accès à des soins corrects. Tout était beau et normal, mais le couple avait peut-être sous-estimé les services de renseignement du Gouvernement Mondial, ils avaient sûrement sous-estimé leur importance également. Un soir ils entendirent frappé à la porte de la maison familiale, le Cipher Pool avait retrouvé leurs traces, on ne sera jamais comment il avait découvert leur secret jalousement gardé... Un client de Malgor compagnie ? Une patiente ? Le maire du village ? Mais lorsqu'ils sortirent les mains et pieds ferrés, il avait rassemblé tout le village autour d'eux, ils furent emmenés à fond de câble et emmené à bord d'un bâtiment militaire, loin de la paisible East Blue ...
Quelques jours passèrent, sous-alimenter et à la limite de la déshydratation, la famille continuèrent dans d'affreuses conditions, une femme enceinte et une fillette ne pouvait pas tenir longtemps à ce rythme, elles n'avaient pas l'endurance de Malgor. Ilsarrivèrent alors dans une base militaire, les agents ne perdirent pas de temps, ils entamèrent alors un interrogatoire du couple pro-révolutionnaire, les aveux ne tardèrent pas, Malgor donna alors les noms de quelques partisans pour aucun mal soi fait à sa famille. Malgor fût jeté dans une geôle individuelle, tandis que Amésiste se préparer à mettre au monde son enfant, l'accouchement arriva, bien que les tortionnaires avaient un certain goût pour le sadisme, ils aidèrent alors l'accouchement de Amésiste. Mais la jeune femme, épuisé et sous-alimenter depuis des jours, donna ses dernières forces pour mettre au monde Amandja, elle succomba alors quelques minutes après avoir vu son fils respiré pour la première fois. Malgor devenu fou de douleur, rancunier et détermine, il essaya alors de s'évader pour récupérer ses enfants, mais toute tentative était vaine, il fût abattu avant même d'avoir vu son fils. C'est ainsi que Amandja fût orphelin après quelques heures de vie ... Amandja et Edwelle furent emmené séparément vers des complexes détenues par des filiales du gouvernement .
Élevé par les ennemis de sa famille, ignorant tout de son existence et de ses origines, il fût élevé à devenir un soldat de la marine. Il vécu quelques temps dans un orphelinat, puis dans une école militaire, il étudia alors la navigation, les manoeuvres militaires, aux stratégies navales et militaires. Une vie difficile pour un orphelin abandonné par sa mère, du moins c'est ce qu'il croyait. En plus, il était doué, il avait un goût inné pour les affrontements, il aimait se battre et il avait la conviction de combattre les terroristes qui se font appeler révolutionnaires, en bref, il était la recrue parfaite.
Le jeune Amandja venait d'avoir quinze ans, après s'être entraîné depuis son plus jeunes âge il était enfin devenu un matelot, capable d'embarquer sur un navire, il était prêt à faire son devoir, protéger le peuple et devenir le protecteur de la justice absolu. Il avait tissé des liens avec beaucoup de soldats, il était aimé pour sa droiture, sa indéfectible loyauté et son sens de l'honneur prononcé. Il savait alors qu'il devrait commencé au plus bas de l'échelle, nettoyer le pont, la plonge, le poste de vigie, ce genre de tâches ingrates, mais il comprit vite que son objectif était de monter au plus haut possible pour avoir la capacité de changer le monde ravagé par l'ambition pirate et l'idéologie terroriste. Il servi alors sur une frégate de la Marine, sous le commandement du capitaine et colonel Yaris, un grand homme à la chevelure blonde et au regard autoritaire.
Yaris mené son navire avec une main de fer, il devait s'assurer alors qu'en cas de tempête ou d'attaque pirates il pouvait alors manœuvrer comme un seul homme, il était érudit et fin stratège, il était réputé pour ses victoires contre des ennemis plus forts et plus nombreux. Amandja avait de la chance, il le savait, peu d'orphelin avait réussi comme lui, la plupart finissait criminel par obligation et pour ça il était reconnaissant de ce que la marine avait fait pour lui. Il servit alors loyalement son chef et son organisation, acceptant les tâches ingrates et autre humiliation moral, il savait que ce n'était que dans le but de l'endurcir.
Les années passèrent, Amandja avait maintenant presque vingt-cinq ans, il était devenu un soldat réputé pour son courage et sa détermination. Bien que ses compétences en combat n'était pas très développé, son sens d'observation et d'analyse fût un atout pour de nombreuses missions, comme son commandant Yaris il avait un don pour la stratégie et la réflexion. Les missions passèrent au fur à mesure avec plus ou moins de facilité, la détermination Amandja resté intacte, jusqu'à cette mission d'escorte ...
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Le commandant Yaris était débout depuis l'aube, il avait convoqué tout officier et sous-officier du navire, j'était debout également, toute cette agitation avait perturbé mon sommeil, ma curiosité m'avait emmené devant la porte de la cabine du capitaine. Je n'avais jamais vu autant dans d'anxiété sur le visage de Yaris, même quand trois navires de pirate nous avait pris en chasse. L'anxiété fût rapidement contagieuse, d'autre matelot se rassemblèrent vers moi, si bien que la moitié des matelots était maintenant réuni devant la porte.
« Dit Amndja tu sais ce qu'il se passe ? » dit la vigie à s'adressant à Amandja.
« Je ne sais pas Max, mais si tu veux mon avis on va bientôt avoir beaucoup pain sur la planche... »
La porte de la cabine s'ouvrit brutalement, Yaris avait un regard plus autoritaire que d'habitude, si bien que tout son visage était étiré et ridé à la fois.
« Bandes de petites commères, au lieu de bavarder, réunissez le reste de l'équipage ! J'ai à vous parler, que tout le monde soit ici dans moins de cinq minutes ! »
Max et moi partîmes alors en direction des quartiers de l'équipage, réveiller rapidement les retardataires, aussitôt fait tout le monde était sur le pont rangé en rang au garde à vue, tout le monde était impeccable, on s'attendait à inspection des uniformes, tout le monde était parfait on savait tous comment Yaris traité les retardataires et les mal fagotés. Le commandant Yarsi sortit alors les bras croisés dans le dos accompagné du quartier-Maître antipathique Anderson, un sale type qui avait une passion pour l'humiliation des matelots un peu trop faignant, un claquement de botes se fit entendre tous les matelot était droit comme des i, au garde à vous .
« Repos, bien je vous ai tout convoqué ici, pour une seule raison, nous allons escorter des hautes dignitaires, les plus hauts qu'il soit d'ailleurs ... » Le commandement fît une pause tout en marchant devant les rangs de matelots, il regarda subitement ses hommes.
« les Tenryūbito ! Oui messieurs, nous devons accompagner ses seigneurs jusqu'à la limite de south blue pour ensuite laisser le relais à un autre commandement. Inutile de vous dire d'être respectueux, ils sont les créateurs de l'institution qui protège ce monde, à nous de nous montrer digne, en massacrant sans pitié tous ceux qui voudrait s'en prendre à eux pendant le voyage. Nous devons donc les protéger ainsi que leur cargaison jusqu'à la limite de Grandline ! Nous avons l'autorisation de couler sans somation le moindre navire suspect qui s'approcherait un peu trop du bateau céleste ! »
Les Dragons ? Je ne sais trop quoi pensais d'eux, je sais qu'ils sont intouchables et que de s'en prendre à eux et aussi dangereux que de marcher dans un champ de mine. J'étais perplexe, mais je savais que cette mission était sûrement une des plus importantes que je devais accomplir depuis que j'avais embarqué sur ce bateau il y a de ça presque dix ans. On se prépara alors à accompagner ce navire, on vérifia chaque parcelle du bâtiment, de la cale au grand mât, une fois que tout fût inspecté par le quartier-maître ainsi que part le commandant lui-même, on se prépara à rejoindre le navire qui était amarré dans un port non loin de là . On voyagea alors pendant une heure environ pour arriver sur une île ridicule qui n'avait en réalité comme seule habitation un fort de la marine et quelques habitations de pêcheurs. South blue avait une sale réputation, d'après ce que j'avais compris beaucoup des dirigeants était surveillé pour leurs idées réfractaires et partisans, c'était une mer dangereuse pour des dragons célestes et le faite qu'il soit escorter était sûrement justifié. J'aperçus alors le bateau céleste. Un grand cuirassé lourdement armé, brillant d'or et d'argent, il était magnifique et redoutable à la fois, sa puissance de feu aurait pu mettre à feu à sang n'importe quelle ville où même île entière. On pouvait sûrement embarqué des centaines de matelots là dedans. Plus on s'approchait de lui plus mes yeux étaient éblouis par cette oeuvre militaire et architecturale. On effectua, alors la manoeuvre pour s'amarrer non loin de lui, notre frégate semblait être un navire en papier à côté de ce monstre.
Une fois l'encré, on attendit alors que le bateau céleste soit chargé, mais là jai vu alors un défilé de personne enchaîné escorté par des gardes qui les frappaient à coup de pied et de crosse pour les faire avancer plus vite. Sûrement des criminels, mais je fûs plus déconcerté en voyant femmes, enfants et vieillards enchaînés également, comment des enfants pouvais être criminel c'est à peine s'il pouvait parler correctement à cet âge là ! Je ne comprenais pas, pourquoi était t'il là ? Que pouvait faire des vieillards ici, boitant tenant à peine sur ses jambes ! Une main toucha mon épaule, je me retournai, c'était Max qui m'avait rejoint, lui aussi observait la scène, mais son visage affiché une tristesse profonde plutôt qu'un désarroi .
« Ce sont des esclaves ... » dit il d'un ton empreint de réalisme.
Ma surprise fût encore plus grande, j'avais entendu des rumeurs comme quoi les nobles pratiquait l'esclavage, mais je pensais que c'était des rumeurs lancées par le mouvement protestataire pour salir le gouvernement mondial. Je compris alors une chose à ce moment là, je compris ma grande naïveté, qui m'avais rendu loyal et indéfectible à suivre les ordres peut importe la nature ...
Max reprit la parole.
« Ces gens, ont manifesté leurs mécontentements pour les taxes, un homme fût tué et la manifestation tourna vite à l'émeute générale qui fît intervenir le cipher pool, les familles des principaux protestataires furent arrêté et interrogé, je ne sais pas vraiment ce qu'il cherchait, mais ces gens de South blue n'avaient rien fait ! C'était des innocent, pris et arraché de leurs liberté pour faire un exemple au peuple qui voudrais suivre leur exemple ... »
La tristesse avait laissé la place à une haine qui déformait le visage de Max.
« Mais attend Max, tu n'es pas originaire de Baterilla toi ? »
« Si... Et ces personnes aussi et notre mission était de protéger les marchandises tu te rappelles ? Et bien... Les marchandises sont ses gens ... Amandja, tu sais tu es sûrement la seule personne à qui je fais confiance, c'est pour ça que je vais te dire ça... Je compte libérer ses personnes et leur rendre leur liberté, des navires vont arriver bientôt arrivé pour attaquer se navire ainsi que pour libérer ces gens... »
« Max ! Je devrais te dénoncer ! Pourquoi me dire ça ! »
« Amandja, et si le gouvernement était devenu le symbole du mal, la corruption, l'esclavage, il est devenu exactement la chose pour laquelle on lutte, un empire totalitaire, supprimant les libertés, gouverné par des privilégié comme ses nobles ! Ne voit tu pas la vérité, ne vois tu pas le mal qu'il cause ? Tu sais j'ai fouillé ton dossier, apparemment tes parents ont était tué pour leur conviction politique et toi et ta soeur tu a été élevé par leurs ennemies ! »
« Quoi... Attend... De quoi tu parles ! Bordel, ma mère m'a abandonné à l'orphelinat, comment as tu pu avoir cette information!C'est impossible ! Tu essayes de me mentir pour que je te rejoigne dans tes plans de renégat! Ne me ment pas ! Dis-moi où sont les preuves de tes dires ! »
« Calmes toi... Tu attires l'attention. Te rappelle tu de la mission que j'ai eu en allant à Marine Ford il y quelque mois ? Je devais accompagner un navire, eh bien j'en ai profité pour infiltrer le bureau des renseignements pour chercher des informations sur le capitaine Yaris ainsi que ses officiers, eh bien je suis tombé sur un dossier te concernant, Sujet 182 Amandja. Tiens je comptais te le donnais aujourd'hui, à par le nom des agents qui sont noirci tu trouveras absolument tout qui collabore ma version, il y a même le sceau officiel du Cipher pool, regarde ! Regarde comme tu as été manipulé depuis ton enfance !»
Les lignes défilaient et ma vie s'écroulait. Ma vie, ma raison d'être, TOUT ! Comment, pourquoi j'étais devenu ça ! On m'avais menti, pire que ça on m'avais manipulé, endoctriné pour que je deviens un défenseur de cette farce. PUTAIN. Que devais-je faire ? C'était peut-être une manipulation de la part de Max, bien que je ressentai instinctivement que c'était la vérité. Je me sentai creux, vide, une noirceur avait subitement atteint mon âme, une nébuleuse noire tissé de mensonge et de manipulation. Je crois qu'il était temps d'ouvrir un peu les yeux sur le monde dans laquelle je vivais, ma naïveté à obscurci mon jugement, le monde n'était pas binaire, il était clairement plus complexe, ils n'y avaient pas les bandits d'un côté et les bons de l'autre. Il avait trahit et il était hors de question que ses Hommes soient traité comme des biens, il était résolu à aider Max dans cette quête qui semblait impossible.
« Je ne sais pas si c'est vraiment la vérité, mais je te laisse le bénéfice du doute pour ça. Je suis prêt à aider à libérer cette fois si ... »
« Bien, mon frère tu ne regretteras pas d'agir ainsi pour autrui, après tout c'est le code d'honneur de la Marine, le principe même de cette faction. »
« As-tu un plan ? »
« Je comptais faire exploser ce navire »
« Tu comptes tué alors tous ceux avec qui tu as vécu ? Ses personnes là même qui ont péri pour pouvoir te protéger ? »
« Je pense que quands il réaliserent ce qu'il se trame, ses « frères » n'hésiterons pas à vouloir te tuer »
« Et si nous sabotions le gouvernail ? Cela devra ralentir suffisamment pour pouvoir intervenir et libérer ses personnes. »
« Je crois que ses deux plans vont avorter, mon cher. Regarde ils ont avancer leur assaut ! »
Il y avait au loin de nombreux petits navires, schooner et quelques bricks marchands armé de canon pour l'occasion, il formait un blocus à l'entrée de la baie, qui rendait la fuite par la mer tout aussi difficile, pendant ce temps un bateau avait pu alors amarré sur la plage débarquant une trentaine de personne.
« Vite il faut qu'on rejoigne le bateau où sont les esclaves, ils vont pour attirer leur attention suffisamment longtemps ! »
Je sautai et descendît alors par échelle pour passer par le ponton et arriver à niveau de la passerelle d'embarquement du cuirassé. L'uniforme nous fît passé sans trop de questions, on aver prétendu à un problème possible de sécurité du dragon céleste. Soudain un bruit sourd retentit, les canons de la flotte improvisée avait visé le navire du commandement Yaris. Des hurlements, des bruits de bois brisés. Le navire malgré les avaries étaient encore debout, Yaris hurla alors pour que la frégate aille affronter seul la flotte constituée de navires de pêche et marchands. Amandja se demanda si la flotte pouvait gagner, car il savait Yaris téméraire et être un contre cinq ne lui faisait par peur. Mais je n'eu pas le temps de réfléchir à ça, un garde m'attrapa par le col, me stoppant net dans ma démarche rapide, il me mit à terre.
« Tu vas crever sale traître ! »
Mais j'aperçus alors Max lui planta la pointe de son sabre en plein gorge, une pluie de sang tomba alors sur mon visage et sur mon uniforme blanc de la marine. Je me relevai et dégaina alors mon sabre. Et je vis rapidement qu'un contingent du gouvernement était en train de massacré le groupe qui avait débarqué plus tôt. La bataille était aussi bien navale que terrestre. On était encerclé par les agents du gouvernement, Max avait abattu d'une balle en pleine tête, je n'avais aucune chance et il n'était plus question de vouloir libérer les esclaves ,mais de sauvé ma vie. J'attaque alors sur le premier type à porter de sabre, je dégainai alors mon pistolet et le tua sur le coup et je continuai alors sur le deuxième assaillant, qui m'entailla légèrement sur la poitrine et une balle vernit se loger dans mon mollet droit, puis une deuxième dans mon épaule gauche, je tombais à genoux, je sentais l'étreinte de la grande faucheuse se refermer sur moi.
« Attendez, ne le tuer pas, je veux savoir ce qu'il motiver ce traître vouloir libérer ses animaux de révolutionnaires avant. »
La tête lourd et je sentis le froid s'insinuer dans mon être, je tombais et sombra alors dans un coma profond ...
Quand j'ouvris les yeux j'étais allongé sur un matelas, attaché au pied et aux mains, ils avaient pris la peine de refermer mes blessures et enlevé les balles de mon mollet et dans mon épaule. J'étais apparemment dans une cale de navire, qui apparemment navigué, vu comme la coque tanguait je supposais que dehors c'était la tempête. J'avais l'impression que mon corps avait étéalourdi par du plomb, je me sentais vaseux. Je ne sais pas depuis combien de temps j'étais allongé là... Je redoutais le pire, je sentais qu'ils m'avaient pas rafistolée par pure pitié. Deux types arrivèrent alors, ils me détachèrent les menottes aux pieds, et me mirent debout. Un flash blanc, me fît perdre mon équilibre, mais les deux brutes me poussèrent pour que j'avance. Ils m'installèrent sur une chaise. Et attendirent là, les bras croisés. Un type rentra avec une valise, ainsi qu'un type avec une bulle sur la tête et le commandant Yaris visiblement blessé à l'oeil ferma la marche.
« Bonsoir, cher ami » dit t'il avec une teinte de tristesse
L'homme légèrement, bossu ouvrit alors sa mallette, montrant ainsi un ensemble de coûteux et de pinces divers. Je compris alors leur attention, me torturer ? Pourquoi faire, je n'étais au courant de rien, enfin des grandes lignes. Je me sentais stupide, je voulais revenir en arrière, j'avais suivis Max avec trop de hâte, je n'étais pas sûr que mon passé était vraiment ce que j'avais lu, je ne pouvais toujours pas le croire... Comme je ne pouvais pas croire que le Gouvernement mondial pouvait autoriser esclavage... Je ne comprenais pas, mon avenir était fichu, j'allais mourir ici, dans cette cale, puis mon corps sera jeté dans l'océan pour finir comme déjeuner aux poissons ... Mon destin était maintenant scellé...
L'homme à la mallette se tourna alors vers l'homme-bulle, il ne dit rien ,mais pointa son doigt en direction d'un couteau de la mallette, un sourire tordu se dessina sur le bossu.
« Excellent choix, mon seigneur. Ahaha »
D'un geste vif, il m'entailla mon bras droit, laissant une plaie béante, terriblement douloureuse, mais peu profonde, malgré toute ma volonté je lâchais un cri de douleur.
« Bien maintenant que je sais que mon couteau et suffisamment aiguisé je peux me permettre de te poser une question. Qui sont ses immondes personnes qui ont voulu s'attaquer à son illustre excellence ici présente ? »
Qui ? C'est vrai je ne le savais pas vraiment, des révolutionnaires sûrement ou peut être des citoyens de South blue, voulant libéré leurs camarade.
« Je ne sais ... »
Un poing venu m'interrompre, brutalement qui faillit me faire tomber de la chaise sur laquelle j'étaie enchaîné. Le goût âpre et métallique avait envahi ma bouche, une dent avait sautée également, je la crachait dans une flaque de sang. Ce salopard de tortionnaire bossu était aussi épais qu'un fil de fer, mais il avait une sacré droit. Pendant ce temps-là le bateau semblait tanguer de plus bel, et on entendait les vagues se fracasser sur la coque.
« Bien que peut tu me dire? Alors mon ami, sur cette pitoyable attaque ? »
« Je tiens à dire que vous devriez plus vous inquiéter pour la tempête de dehors, que par-moi ! »
« Mauvaise réponse tu commences à m'énerver et ça ce n'est pas la chose à faire mon ami »
Il se leva alors et se dirigea alors vers un tison et le mis dans la chaudière qui avait non loin.
« Tu sais ce que je veux, mais j'ai un vilain défaut c'est que je ne sais pas attendre, alors en attendant que ça chauffe je vais te faire une manucure ahaha ! »
Il prit une pince et s'approcha alors de mes pieds, nues, il tira violemment, la douleur fût vive et mon pied fût à la fois comme électrifie. Je hurlai alors ne pouvant pas retenir ma douleur, ce salaud m'avait arraché un ongle. Il lâcha alors sa pince avec un sourire sadique se dirigea alors vers le fer chauffé à blanc. je remarquai que l'embout était une sorte de F, comme une armoiries familiale.
« C'est ton dernier mot ? »
« Oui, monsieur l'enfoiré »
Il enfonça alors l'embout dans mon pectoraux gauche tout en carbonisant mes chairs, pas de cri cette fois là, je m'enfonce alors dans un voile noir et obscur avec comme seul fond sonore le rire inhumain de mon tortionnaire...
Quand j'ouvris les yeux le bossu était toujours là à me coller des gifles monumentales. Mais tous les autres avait disparu, la houle était d'une violence race, le navire tanguer comme une coquille de noix.
« Alors, fillette bien dormi ? Ne t'inquiète pas j'ai encore quelque jouets pour jouer avec toi et une fois fini, je balancerais ton corps à Neptune, il à l'air contrarié ce soir, peut être qu'un sacrifice calmera sa colère ! AHAHAHAH »
Ce type était fou, je ne comprenais pas ce qu'il foutais sur un bâtiment du gouvernement, je ne savais même pourquoi on autorisait la torture. Puis un bruit sourd et violent venir couvrir le rire de cet homme, le bois se déchirait, tout basculer, la coque se déchira et je vis des trombes d'eau me percutait avec violence... On avait coulé et j'étais dans l'eau subitement, je tourbillonnais et m'enfonçait dans les profondeurs abyssales, entouré de corps de débris, de canons et de toute autre chose. Par réflexe j'utilisai toute ma force pour me libérer des liens et de la chaise que j'avais dans le dos tout en continuant de tourbillonnait et d'être violenté par la force divin des courants sous-marin. Je réussis à me libérer et à attraper un morceau de la coque qui remontait vers la surface, je m'accrochais alors avec la plus grande violence, je plantais mes ongles dans le bois. Je remontais alors vers la surface déchaîner, manquant de me faire assommer par des débris. Les vagues étaient monstrueuses, mais je pouvais alors respirer, j'entendais des hurlements pas très loin de moi, peut importe je devais survivre, je m'accrochais alors à ses morceaux de bois avec toute la vigueur qu'il me rester, je restais là des heures manquant de me faire surmené à chaque vague, si l'enfer existerait je pense que j'y étais.
Je finis par dériver loin de la tempête. Je me hissais alors sur le bois et je me reposais alors de façon indéterminée. Je me réveillais alors sur une plage les vagues me tapoter légèrement le corps, j'étai visiblement en vie, je ne savais pas comment, j'avais eu de la chance, non, non, c'était bien plus que ça ce genre d'événement forge une vie, cette tempête m'avais sauvé la vie, mais avait faillit me tuer par la suite. Mes points de sutures n'avait pas craqué, mes blessures de tortures étaient lavées par le sel et eau. J'étais affamé et assoiffé. Je ne savais pas où j'étais mais j'étais heureux d'être sur la terre ferme.
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Il se nourrit alors d'oiseaux, de baie et de racine, c'était un îlot minuscule, mais heureusement pour lui un navire marchand le repéra après une semaine et demie à chasser et essayer de se nourrir. Les marchands soignèrent alors de façon brouillonne ses plaies et le débarquèrent sur GrandLine, après une petite enquête il découvrit que personne le recherché, il avait juste annoncé la disparition d'un Dragon céleste dans un naufrage. Il comprit alors qu'il pourrait maintenant chercher les informations sur son passé sans être inquiété par la Marine ou les chasseurs de primes. Il pourrait également contacté ses mystérieux révolutionnaires pour l'aider dans sa volonté de changer cette institution corrompu qu'est le Gouvernement mondial...