Rappel des règles :

Citation :

Le combat devra être fini en deux semaines. Nous préconisons une attente maximale de 48h entre deux postes, n'hésitez pas à sauter le tour d'un absent ou d'une personne trop lente qui n'aurait pas prévenue de son retard, vous êtes en autogestion. Pour tout problème postez dans ce sujet ( lien . Le staff se garde le droit d'intervenir en cas de problème de délai ou de rp sortant du contexte, de GB...

- Joe
- Lazare
- Zyra
- Reina PNJ

Sujet : Alors que Joe Gillian est tenu en joue par un jeune caporal, ce dernier est emmené auprès de Reina Delaware. C'est à ce moment la que Santiago débarque et liquide les quatre derniers soldats survivants, ne laissant que Reina comme survivante. Cette dernière gravement blessée à l'abdomen ne peut rien faire. C'est A ce moment que Lazare et Zyra débarquent. Reina se met alors à hurler qu'on lui vienne en aide, préparant ses armes pour le combat à venir.

(il n'y a pas d'ordre de poste)

N'ayant rien de plus à obtenir de ces deux femmes, nos chemins se sont séparés là. Malgré les familiarités de la première et la méfiance de la seconde. Mais je n'avais pas le temps de creuser plus en profondeur les informations que j'aurai pu récupérer sur ces deux femmes. Dont l'une, détentrice d'un pouvoir démoniaque et l'autre, partiellement, au moins, cybernétique. Possiblement lié au maître de Cyberia, c'était une possibilité. J'avais semé ses traqueurs, mais pour combien de temps encore ? Combien de temps avant qu'il ne veuille récupérer ce projet qui est le siens, ses technologiques qu'il m'a implanté et qui maintenant, servent son ennemis ? Plus le temps passe et plus ce corps m'est familier je me demande quand il sera trop tard pour lui le récupérer !

Enfin je me suis donc lancé de l'autre côté de la rivière, rapide et précis. Dom' m'avait indiqué sur notre radio qu'il avait repéré quelques choses, indiquant aussi les coordonnées qui étaient les siennes. Et ses recherches l'ont donc amené près de ma propre position. Ainsi, il était temps de se regrouper et de voir ce qu'il en était. Après presque quarante-cinq minutes de marche, j'ai entendu des coups de feu à une bonne distance de moi. Pressant le pas, je me suis donc présenté devant ce qui semblait être un campement de fortune, organisé sommairement. J'ai donc retrouvé Joe et Santigo mais surtout... Reina !

Les cadavres de ces derniers soldats étaient présent partout autour de nous. Leur sang, encore frais, finissait de s'écouler de leur plaie béante et de se mélanger avec la terre et le sable, formant cette boue morbide et sinistre. Qui ne manquerait pas d'attirer les bêtes, plus ou moins grosses, qui s'occuperaient de nettoyer tout ça. Enfin, le problème était qu'elle était blessé, et que nous devions l'extraire en vie. Que ça aurait été simple de lui mettre une balle dans la tête ! Enfin, échangeant rapidement avec mes deux compagnons, nous avons convenu que Joe & moi nous nous occuperions de la ramener à notre petit navire. Pendant que, Santigo, qui passait devant, nous dégagerait la voie des principaux problèmes.

J'ai décidé de faire un petit tour dans le campement, à la recherche de vivre, d'alcool surtout. Puis, pendant que je faisais mon petit tour, j'étais alerté par Joe et des bruits dans le campement. C'était Zyra... Oh la petite conne ! Elle m'avait suivit et elle s'était jeté droit sur Reina et l'avait rafistolé sommairement. De quoi faire en sort qu'elle soit suffisamment gênante, avant, elle ne pouvait rien faire à part retenir son sang et ses entrailles. Là, elle avait presque les mains libre ! Je me suis donc avancé vers le tante, restant en retrait de l'entrée. L'officier était sur qui vive après tout. Et ça serait stupide de se faire sauter la tête en voilant s'approcher un peu trop près !

Deux lames était alors apparu de mes poignets et mes yeux, habituellement noir, étaient maintenant devenu deux disques oranges. Il était de voir ce que le programme Lazare avait vraiment dans le vendre ! Ce que Merlin pouvait faire ! Et surtout, de rendre sa majesté fier ! Un beau jour pour mourir !


J'avais une petite appréhension dans l'esprit. Si j'étais sûr de mon corps et de mes propres capacités, c'était le première fois que j'allais combattre avec mon nouveau compagnon. Santiago aurait vite fait de faire le tour et de se rendre comte, après un certain temps, que nous avons des problèmes. Espérons juste que nous n'aurons pas besoin de lui !

Spoiler:

Santiago avait malheureusement fait le ménage dans le camp de réfugier, logeant du plomb dans toutes personnes vivantes. Il n'épargna que l'objet de la mission, la gradée Reina Delaware. C'était encore un massacre, encore une vision d'alliés tués sans qu'il ne puisse rien faire. Il y a des jours, il détestait sa mission et n'avait qu'une envie se retourner et faire bouffer des balles aux partisans de Dampier... Mais non il devait encore endurer cela pour avancer un peu plus et décapiter la tête du Kraken! Justement l'un de ses plus fervents partisans arriva en la personne de Lazare qui était suivi d'une personne de type féminin. Joe lui fit un clin d'oeil mais il comprit de suite que cela puait le paté lorsqu'elle se précipita vers la Commandante pour la soigner. Joe se rapprocha du cyborg et s'alluma un cigare. Lazare lui sortait déjà les armes.

_ Je vois que tu t'es fait une nouvelle amie? Mais d'après ce que je vois, elle ne sait rien de toi et de ta mission. Vu son comportement elle va poser problème non? On essaye d'être gentil ça te va?

Sans attendre la réponse du décurion, Joe fit un pas en avant tout en soufflant une volute bleutée. Il dégaina le revolver qui était à sa ceinture et le pointa en direction des deux jeunes femmes. Il interpella alors Zyra.

_ Désolé ma jolie rousse mais il semblerait que cette jeune femme doive venir avec nous, je te demanderai donc de t'écarter d'elle. Sauf si tu souhaites nous accompagner, je veux bien qu'on partage ma paillasse ensemble, cela rendra la traversée bien moins ennuyeuse.

Un sourire charmeur et un ton mielleux qui cachait l'animal prêt à appuyer sur la gâchette. Cobra n'avait pas envie de blesser la rousse mais livrer Reina serait une chose qui le ferait avancer grandement dans sa quête. Il tira encore une fois sur le cigare, attendant une réaction de la part de la rousse ou bien de la gradée blessée...

C'est sympa ma mignonne, mais on a de la compagnie...

Reina se relevât, remerciant d'un beau sourire que seul une femme de ce genre pouvait offrir dans une telle situation et sorti une arme à feu impressionnante de sous sa jupe. Il s’agissait ici d'un mousquet traditionnel, à l'exception que celui-ci possédait 5 canon installés autour d'un autre canon plus impressionnant qui ressemblait plus à un tromblon qu'à une arme conventionnelle. Soulevant cette arme comme si de rien était, elle prit une positon lui permettant de survivre le recule d'une telle arme et laissât les révolutionnaires approcher. Elle n'avait pas eu besoin de demander quelles étaient leur intentions, elle le savait déjà... Ces hommes de Dampier voulait la ramener morte ou vive devant leur soi-disant Roi pour interrogatoire, elle ne pouvait se permettre une telle chose et espérait que la femme à ses côtés soit suffisante.

Le premier homme déployât d'impressionnantes lames orangées de ses avants-bras qui semblaient plus que dangereuses... Reina n'était pas une guerrière au corps-à-corps et elle devait s'assurer de garder ses distances, ne sachant pas non plus les capacités de son alliée de fortune. Puis vint un second homme, lui plutôt armé d'un revolver qui semblait plus dans le cordes de la commandante. Baissant son arme quelques secondes pour envoyer une grande sourire amusé au second révolutionnaire en essayant de cacher la douleur causé par ses blessures, elle s'adressât rapidement à Zyra.

Copinette, vas falloir qu'on se défende. Ces types semblent te connaître, si tu préfère rester loin, je t'en voudrai pas... Je suis bien assez pour ces deux là. Je t'invite cependant à ne pas te mettre de leur côté, ça me tuerais de blesser un joli visage comme le tiens.

Posant son arme sur son épaule en signe de provocation, elle passât sa main dans son soutien gorge d'où elle ressorti une étrange balle métallique jaune qu'elle glissât dans le canon centrale de son arme, narguant au passage ses adversaires.

Vous semblez avoir la sang chaud les clodos, calmez-vous un peu et on vas aller parler de tout ça devant un bon café. Vous pourriez même inviter votre... Heum... Je me rappelle jamais de son nom à celui-là... Dampieur?