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 Shaporo || Just smile and steal ~ [100%]

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Pirate
ShaporoPirate
Shaporo


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MessageSujet: Shaporo || Just smile and steal ~ [100%]  Shaporo || Just smile and steal ~ [100%] EmptySam 14 Fév - 19:35

Gintoki Shaporo


Nom : Gintoki
Prénom : Shaporo
Âge : 19 ans
Lieu de naissance : Village d'East Blue
Race : Humain
Faction / Grade : Pirate
Métier/Rôle sur un navire : Pirate solitaire / Musicien & Navigateur
But : Devenir une légende
Surnom : //
Mer de départ : Grand line

Capacité : Bretteur
Si ma force brute n'est pas classée dans les meilleures, je remédie à ce léger défaut grâce à ma technique et ma vitesse. De plus, j'arrive à parfaitement contrôler les mouvements de tout mon corps, et partager la cinétique qui s'accumule afin de donner une grosse puissance de frappe. Au final, on dirait que la puissance brute est plutôt énorme, mais ce n'est qu'avec le cumul de ma technique, ma vitesse et mon peu de puissance que j'arrive à ce résultat surprenant pour un gabarit comme le mien.


Description Physique :
Oui ? Ah, mieux me connaître ? Vous voulez que je parle de mon physique ? Vous ne le voyez pas ? Ah je vois, c'est pour commencer...Mhm ? Commencer ? Ah d'accord ! Vous avez de la crotte dans les yeux, c'est ça ! Yosh, je vais vous aider à mieux représenter mon personnage dans votre tête ! Tout d'abord, on m'a toujours dit que j'avais l'âme d'un démon. Enfin, on m'a toujours traité comme tel. Au vu de nombreux regards déjà posés sur mon corps, j'en déduis que mon allure doit vraiment être désagréable pour les yeux ou l'esprit. Cela, non pas parce que je suis inélégant, mais plutôt que l'atmosphère qui émane de mon propre corps ne donne pas de raison d'avoir un quelconque sentiment d'égard à mon propos. Ou quelque chose comme ça. En tout cas, de ce que je me souviens, certaines personnes disaient que j'attisais la jalousie des autres, tandis que d'autres disaient que j'avais un physique ignoble. Ah mais en fait...Je dois juste avoir un physique tellement banal que ça en est spectaculaire ! Bref, tant qu'on y est, je vais vous faire un portrait du reste de mon physique, vous me direz si je suis bien comme ça.

On commence par quoi ? La tête ? Eh bien c'est parti. Tout en haut, mes cheveux orangés font à peu près allusion à...A...A quoi donc ? Ah je sais ! On pourrait dire qu'ils ont la couleur du feu, hihi ! Je suis roux entre autre. Mes deux yeux, quant à eux, sont plutôt troubles, tantôt grisés tantôt verts, et sèment le doute comme une soudaine déclaration d'amour de la personne que l'on aimait depuis longtemps. Oui oui, j'y crois ! Ils ont un aspect spécial, je sais pas vraiment, mais ils sont spéciaux, un peu...Menaçants, et un peu doux à la fois. Ma bouche est simplement fine et délicate, sans plus, exactement la même chose que pour mon nez. Donc, mon visage dans l'ensemble est raffiné, de quoi rendre les autres presque jaloux. Mais en soi, le tout reste plutôt banal, pour quelqu'un comme moi...Un adolescent je veux dire.

A la suite de ça, parlons de ma silhouette générale. Premièrement, je mesure exactement un mètre soixante et onze, c'est un détail important que l'on ne doit pas omettre d'annoncer. Et tout comme son partenaire, le poids est autant remarquable. Oui, je pèse soixante sept kilogrammes. En plus de cela, mon corps n'est pas rond, ni carré d'ailleurs...Mais plutôt athlétique vous voyez le genre. Pas athlétique au point d'être couvert de muscles hyper voyants, mais plutôt dans le cas où ils ne sont ni trop à la vue de tout le monde, ni trop cachés ! C'est pas vraiment simple de préciser plus...Quoi ? Bon, c'est vrai que j'ai l'air un peu chétif, mais je suis pas un menteur moi ! Oh, contentez vous de ça. C'est vrai que je suis athlétique quoi...La preuve, je maîtrise parfaitement les mouvements de mon corps ! Mhm...Oubliez ça.

Bref, pour ce qui est du choix vestimentaire, la question ne se pose même pas. N'importe quoi, c'est parfait. Cependant, on me voit le plus souvent avec des habits noirs, blancs ou marron, voire les trois à la fois. M'enfin, je ne vais pas rester trop longtemps sur ce sujet, passons au dernier cas...Quoi ? Bon c'est vrai, on me voit souvent avec un même type d'accoutrement. Oui, j'ai un haut noir grisé ainsi qu'un pantalon de même teintes et motifs. Oui, je porte aussi souvent une cape et des gants qui vont bien avec mes autres vêtements. En gros, je porte un ensemble complet, et j'ajoute une touche de personnalité en ayant une espèce de bandana. C'est donc comme ça qu'on me verra, entre autre...

Tu veux savoir ce que c'est, pas vrai ? Je parle effectivement de ça, sur mon bras gauche ! Eh bien, j'ai eu droit à cette marque lors d'un léger accident avec un homme. C'est une cicatrice plutôt imposante, à ce qu'il paraît...Mais même moi je n'y prête pas tellement attention...Alors, tout est bon ? Oui ? Eh bien, passons à la chose suivante, monsieur je veux tout savoir.


Description Psychologique :
Vous souhaitez probablement tout savoir sur moi, non ? Je vous ai saisis vous savez ? Mais bon, vu qu'il faut le faire, je m'en donnerai à cœur joie, ou presque. Pour commencer, je vais vous annoncer quelque chose qui risque de vous surprendre, et ce, considérablement. Je suis tout à fait normal, avec un certain défaut. Je suis plongé dans le royaume des ténèbres. Autrement dit, je suis aveugle, hihi. Quoi ? Ma blague n'est pas drôle ? Arf, dommage, j'aurai au moins tenté.

Donc premièrement, j'adore m'entendre avec les autres personnes, je ne dis pas que je suis amical envers tout le monde, mais juste un tout petit peu. En tout cas, j'aime être aimable. Ou plutôt, c'est dans ma nature. Je préfère de loin aider quelqu'un en détresse que de le laisser se débrouiller. Bien sûr, il y a bien des moments où la situation ne permet pas mon intervention, comme lorsqu'il s'agit d'un duel entre deux personnes...Un duel, pas un simple combat ! Et aussi, quand c'est un plan pour faire quelque chose en particulier, et que j'entraîne des connaissances ou des volontaires dans ce plan...M'enfin, être aimable ne signifie pas être un saint, et ne pas avoir les requis pour être pirate. Je sais être aussi très méchant, héhé. Mais bon, pour conclure cela, je vais juste affirmer le fait que je suis un type étrange, mais gardant tout de même sa part de gentillesse et de dignité.

Ah oui, en parlant de ça, je fais appelle à l'honneur, cette vertu des temps anciens. Dans ce monde, nous sommes beaucoup à la posséder, et tout ceux qui l'ont méritent un grand respect de ma part. Et donc, déjà, je suis l'un d'entre eux. En effet, cela ne me déçoit pas d'être bien perçu, par contre, si cela s'avère être le contraire, j’essaierais sûrement de remédier le tout. Mon âme doit rester intacte, sans à avoir à ressentir la sensation étrange, détestable ainsi que regrettable qu'est la déchirure. Pour rajouter, je dirai que je me soumets parfaitement à cette chose, sauf dans les cas extrêmes.

En tout cas, si je peux vous dire une chose sans avoir à le désapprouver plus tard, c'est que je suis un homme de parole. Si je vous accorde une chose, je vous le ferais ou vous l'offrirez si c'est un objet. Je tiendrais donc promesse et ce, même contre tout l'or du monde. Pour moi, cela ne doit pas se donner sans réfléchir. Il faut savoir si l'on peut la tenir, si l'on échouera pas devant notre problème, et même si cela paraît impossible, continuer jusqu'à notre dernier souffle. On peut qualifier ces choses par l'état d'âme d'un individu, je pense. Ne pas les tenir signifierait donc souiller son honneur et par conséquent, devenir impur. En autre, je ne donne jamais de promesse pour rien, hihi.

Bon bon bon, changeons un peu de sujet. Je vais parler plus profondément de mon caractère. Pour continuer dans mes qualités, je pourrais dire que je suis plutôt déterminé, même si cela peut vite passer à une attitude bornée. Pour revenir, je n'abandonnerai pas, j'achèverai ma tâche. Si jamais je tombe, je me relèverai, encore plus confiant...Euh oui, c'est tout ce que j'avais à dire sur ça. Déçu ? J'en suis désolé...Mais je ne suis pas un héros. Je ne sais même pas si ce que je viens d'annoncer sera correct pour la plupart des événements, héhé. Disons que cela arrivera lorsque la situation en vaudra le coup.

Bien sûr, je possède aussi des côtés mauvais, mais cela ne sort pas du tout de l'ordinaire. J'avoue être très émotif et cela peut avoir de très graves conséquences, notamment en plein combat ou autres choses dans le genre. Cependant, ce n'est pas mon seul défaut et loin de là. En plus de ce que j'ai déjà annoncé, j'ai aussi le misérable fait d'être un peu trop naïf. Et oui, ça ne peut se changer tout ça. Effectivement, j'ai aussi d'autres imperfections mais en même temps, cela ne nous qualifie pas en tant qu'être humain ? J'ai donc tout à fait le droit d'être comme je suis.

Ah, par contre, j'ai beau être gentil mignon et tout le reste, j'en reste pas néanmoins pirate. J'ai pris habitude de voler les gens si j'en avais la possibilité. Hormis les personnes que je connais, j'aurai tendance à dérober les biens, ce qui a de la valeur en priorité d'ailleurs, des autres. Même si de base, j'aime beaucoup aider les autres, je ne peux pas m'empêcher de faire ça, par habitude toujours. D'ailleurs, c'est un peu ce fait d'aimer tant l'argent, ou plutôt de le convoiter autant, que j'ai fini par devenir pirate...

Bref, parlons maintenant de ma manière d'agir. J'admets que je ne suis pas quelqu'un qui fonce tête baissée. Je favorise le fait d'avoir un plan solide. On me reproche aussi assez souvent de ne pas être assez fonceur, mais je préfère garantir la sécurité avant tout. Mais on ne me voit pas tant comme un stratège puisque j'ai l'air d'en faire qu'à ma tête, et pourtant, mes actions au moment précis sont plutôt recherchées, ce qui peut se voir dans mes techniques de combat en fait.

Sinon, pour ce qui est en dehors des combats ou des autres choses qui nécessitent une réelle tactique, eh bien je suis un peu peureux à vrai dire. Ou plutôt, c'est un rôle que je m'amuse à jouer, faire croire que j'ai peur. C'est marrant de voir comment les autres personnes vous regarde, ils tirent toujours des tronches étranges ahah ! Oh, mais en vrai oui, je suis courageux héhé.

En tout cas, si je dois vous parler aussi de ce que j'aime, je vous dirais surtout une chose, la musique. Oui, j'aime vraiment ça, il m'arrive même de chantonner, ou de fredonner des airs de musique lorsque je me bats. En plus, si je combine tout cela avec mon sourire habituel, cela à le don d'énerver mes adversaires, et c'est plutôt une bonne chose que quelqu'un qui me fait face perde son sang-froid.

En tout cas...Ah mais oui ! Ça, cette chose ! Oui ça ! Je les adore plus que tout ! Les friandises mhm ! Oh, et pas que ça en fait, tout ce qui est sucré ! Oui, j'adore les sucreries. Je ne peux vivre sans sucreries. Il faut donc que j'en prenne, encore et encore..Mon esprit ou plutôt, mon instinct ne fait qu'en réclamer. Je me promène donc souvent avec une sucette dans la bouche. Et pour combler mon manque, je fais toujours un gâteau toutes les semaines. Enfin bon, du moment que j'ai un truc sucré, ça me convient...Et puis, j'ai pas eu tant de maladies liées à cette accrochement encore, donc cela voudrait dire que mon corps est aussi en symbiose avec tout ce sucre, et que j'ai le droit de continuer à en prendre, non ? Bref, pour conclure, je pense que vous verrez mieux comment je suis si vous suivez mes aventures.

Quoi ? Avant cela, vous aimeriez savoir quel est mon but ? Eh bien, je n'y ai jamais réfléchi à vrai dire. Mon premier choix qui m'a amené à vivre une aventure, c'était à cause d'une certaine femme. Ah, non, pas pour ça pervers ! Elle m'a sauvé tu sais !? Alors que je gâchais ma vie à ne rien faire, elle, elle a pu voir mes capacités. Elle a changé ma vie. Et puis un jour, elle a juste disparu...Du coup, je me suis lancé à l'aventure pour tenter de la retrouver. Je veux juste lui remercier pour tout ce qu'elle a fait pour moi. Pourquoi je suis pirate dans ce cas ? Eh bien...Je ne sais pas, on m'a dit qu'on pouvait être riche en étant pirate, et on pouvait aussi être célèbre, et aussi, respecté, et aussi...Libre. Tellement libre qu'on pouvait être encore plus riche...Bah quoi ? Être pirate au final, c'est bien pour les trésors et la renommée non ?


Histoire :

Cycle 0 : La fierté ne vient pas du nom, mais de la famille



Alors, vous voulez connaître mon histoire ? Eh...Ça semble amusant de la raconter ! Ça me rendra peut-être un peu plus célèbre si vous la raconter aussi un peu partout ! Bien, pour commencer, ma naissance est l'une des seules choses qui m'est inconnue. Je me souviens seulement que mon père m'avait eu alors qu'il s'était séparé de sa famille, et que ma mère se trouvait à une position inconnue après m'avoir fait naître.

Bref, mon premier souvenir remonte donc à ce moment, lorsque le cœur de mon père semblait troublé. Son âme frissonnait non pas d'excitation ou de plaisir mais de douleur et de crainte. Comment le savoir ? Son corps vibrait à la seule vue d'une des maisonnettes libres du village dans lequel il m'avait amené, signe de faiblesse ou de peur. Je me rappelle encore de quels mots il avait employé à ce moment.

« Tout ce qui m'est extérieur m'est étranger désormais. Je n'ai en ce monde ni prochains, ni semblables. Je suis sur cette terre comme dans une planète étrangère où je serais tombé de celle que j'habitais. Si je reconnais autour de moi quelque chose, ce sont que des objets affligeants et déchirants pour mon cœur, et je ne peux jeter les yeux sur ce qui me touche et m'entoure sans y trouver toujours quelques sujets de dédain qui m'indigne, ou de douleur qui m'afflige. »

Leur signification était simple, même moi, je l'avais compris, malgré mon jeune âge de cinq ans. Il était seul, ou plutôt, il avait perdu ses amis. Il avait subit un échec qu'il n'aurait pas dû avoir. Il n'avait presque plus rien, à part moi et sa vraie famille – par conséquent la mienne - auquel il n'osait pas retourner. Cependant, durant tout ce temps, durant ces cinq années où il m'avait élevé, j'avais perçu qu'il hésitait à rentrer. Il voulait d'abord détruire sa solitude pour pouvoir retourner auprès des siens, la tête haute. Enfin, après cela, il se sentait prêt à revenir au dojo Gintoki, là où résidait notre famille.

La porte traversée, toutes les personnes qui logeaient tranquillement à cet endroit furent surprises ainsi qu'un peu excitées. Jamais les Gintoki n'avaient eu d'invités, bien que j'étais de la famille. D'ailleurs, ils le remarquèrent assez vite et accoururent vers le maître, étant aussi leur père. Les retrouvailles furent brèves, en effet, le vieux maître décida d'aller directement se coucher, me laissant alors avec le reste du groupe. Premièrement non convaincu, je ne voulais pas me fondre avec ces individus. Cependant, après réflexion, j'arrêtai de me mettre en garde, après tout, c'était aussi ma famille, et non uniquement celle de mon père. Malgré l'interruption de ma petite prévention, les personnages autours de nous semblaient me craindre. Effectivement, leurs yeux étaient rivés sur mon corps, bien qu'ils essayaient de le cacher. Pas une seconde, ils stoppaient leur méfiance. Au contraire, après de vifs regards vers un livre, les membres de la famille semblaient avoir encore plus peur de moi. Alors que je tentais de parler avec eux, chacun détournait la conversation et partait faire soi-disant quelque chose d'urgent. Tant pis, je n'avais plus qu'à rester seul, dans mon coin, jusqu'au retour de mon père.

Soudainement, d'un premier soupir, une des personnes présentes vint à ma rencontre afin de discuter un peu. Parler de tout et de rien, de la pluie et du beau temps et plus précisément, de ce que je faisais ici. Exactement, il voulait savoir comment ma présence avait pu venir jusqu'à cet endroit. Je lui avais alors tout raconté, de ma naissance jusqu'au retour du maître du dojo, mon père, ici. La jeune personne comprit alors et décida à son tour de me dire une chose. En effet, il me parla du mythe qui se transmettait de génération en génération dans le village. Apparemment, j'étais le portrait craché d'un des deux enfants maudits, et donc, c'était pour cela que les Gintoki avaient peur. Même lui nous avoua qu'il était un peu effrayé si tout se produisait comme dans la légende. Enfin bon, quoi de plus normal. Malgré les doutes et les craintes, ce type, mon oncle, sut m'accueillir comme il se devait et réussit à me faire respecter comme tout membre de la famille, même si cela fut difficile pour lui. Mais quand bien même, je ne comprenais pas. Il avait peur d'un enfant comme moi. Un enfant aussi chétif que moi. Que pouvais-je donc bien leur faire ? Et de plus, ce n'était qu'une légende, avec un dessin pour l'accompagner. Ce n'était pas forcément une réalité, juste une simple légende...

J'avais l'impression de voir une famille plutôt unique, et surtout assez peureuse. Ce n'était pas comme si je dégageais une aura maléfique, non, c'était juste à cause de mon apparence similaire à une vulgaire image. Mais je n'avais pas le choix, et encore, c'était toujours mieux que de rester seul et de ne pouvoir profiter d'une famille, même si celle ci n'était pas parmi les meilleures. Cela dit, j'étais même un peu heureux et rassuré au fond de moi. La famille de mon père n'était pas de simples brutes, ils étaient juste normaux.

Je m'intégrais alors rapidement dans cette famille et dès le second jour, on m'apprit la situation du monde, les traditions familiales, à connaître les membres de cette famille et surtout, ce qu'ils pratiquaient. En effet, même si notre maître commençait déjà à nous donner des leçons concernant le maniement de l'épée, on passa ensuite à l'acte dans le dojo. Leur « peur » me concernant n'était pas réellement un de leur caractère, ils avaient plus l'air d'être de fiers samouraïs craignant le danger, pratiquant afin de pouvoir en sortir. La maîtrise du sabre, c'était l'art de combat que j'avais donc choisis. Bien sûr, j'étais jeune, mais justement, c'était à cet âge qu'il fallait vraiment commencer à apprendre l'art du combat. En ce monde qui se fracture, il fallait savoir se battre. Si un jour, un malheur arriverait au village, je devais pouvoir assurer sa défense, sa protection ou bien le libérer du mal.


Cycle 1 : La déesse de la musique ne se montre pas tout le temps clémente



Cela faisait maintenant deux années que j'étais au sein de la famille Gintoki. Je m'étais donc parfaitement adapté. L'unique chose qui me déçu était ce subite arrêt de mon apprentissage du combat. Dès la seconde semaine, on m'avait fait arrêter. Certes, je n'arrivais pas encore à les suivre, j'avais aussi du mal manier l'arme que j'avais choisi, mais ce n'était pas une raison pour me faire stopper tout cela. Mais bon, en tout cas, pour eux, j'étais trop fragile afin de pouvoir réellement maîtriser l'art du combat. Avant que je ne me blesse, ils avaient préféré tout arrêter.

Je ne vivais qu'une vie simple, mais toutefois joyeuse. J'étais un de ces enfants qui adorait sourire pour rien. Pour remédier le fait que je ne pouvais aider le village en combattant, j'effectuai à la place divers requêtes que les habitants proposaient. Certaines m'étaient évidemment hors de portée dû à mon corps encore en croissance, mais j'essayais d'aider le plus de monde possible. De ce fait, au sein du village, mon nom était plutôt répandu. J'étais « le gamin joyeux qui veut se rendre utile » pour eux.

J'avais donc perdu toute chose liée à l'action pure, mais une autre chose avait conquis mon âme. Celle-ci n'était ni pure, ni maléfique. L'art merveilleux de la musique. En effet, je commençais à jouer du piano et de la guitare et j'étais plutôt doué. C'était comme un don. Grâce à cela, j'avais pu rencontré quelqu'un d’exceptionnel, une personne magnifique. Elle se nommait Azusa, une charmante fille de mon âge.

En jouant de la musique, elle fut attirée par le prodigieux son qu'émettait ma première composition. Entrant alors dans le dojo, je fus émerveillé par la pureté de son visage et par la perfection de son corps. Cependant, d'après les dires de mon maître, la beauté ne faisait pas tout, il fallait aussi avoir le cœur. Malgré les paroles de mon père, je commençais tout de même à la fréquenter. On sortait ensemble et on s'amusait comme des amis très proches alors que notre rencontre ne s'était faite que quelques temps auparavant. Nos sujets de discussion tournaient souvent autour de la musique et des animaux, bien que la plupart du temps, on jouait à cache-cache ou autre choses du même genre.

Jour après jour, semaine après semaine, année après année, on continuait de se voir et notre relation évoluait toujours et encore. Ma passion pour la musique ne cessa de monter, tout comme mon amour pour Azusa-chan. En effet, j'étais tombé amoureux et je ne m'en rendis vraiment compte qu'à mes dix ans.

Un jour, lors d'une sortie avec l'un de mes frères et Azusa-chan, cette-dernière ne se sentait pas très bien. On était parti dans la forêt à plus de treize kilomètres du village. On voulait cueillir des champignons pour le dîner, mais celui qu'Azusa-chan avait pris était toxique, ce qui lui conféra un étrange virus. On accourut alors au village au plus vite afin d'examiner l'état de celle que j'aimais. Apparemment, c'était grave, très grave même. L'infection était trop profonde, et le virus était extrêmement contagieux. Par le touché, on pouvait l'attraper. De plus, cela laissait place à une maladie progressive, résultant à la mort de la personne en quelques jours, voire semaines si l'on était chanceux. Il fallait réfléchir et trouver un antidote rapidement ou bien Azusa allait y passer. Condamnée, celle-ci fut emprisonnée dans un endroit sûr où elle ne pourra faire de mal à personne, étant donné qu'aucun être ne passait dans ce coin.

Bien que tout le village tenta de sauver la jeune fille, personne n'avait les capacités nécessaires pour créer le breuvage capable de la soigner. Aucun n'était vraiment très scientifique. Le lendemain, plusieurs symptômes étranges se firent apercevoir chez quelques habitants du village. C'étaient les mêmes que ceux d'Azusa-chan, étrangement. Pourtant, celle-ci ne les avait pas approché. La conclusion que le médecin avait était celle-là : le virus pouvait se propager par les airs. Une simple respiration pouvait nous contaminer et nous tuer par la suite. Il était sûr que quelque chose de tragique allait vite se produire. Malgré tout, mon entêtement réussit à éviter, ou du moins repousser, l'éradication de toutes les personnes contaminées.

Il fallait donc agir rapidement si l'on ne voulait la mort de pauvres et bons habitants. Pendant cinq jours, les recherches furent intenses et devinrent l'activité principale du village. Un semblant de piste fut découvert par notre oncle mais rien de bien constructif. C'était alors que la série de perte débuta. Les infectés commençaient à périr les uns après les autres.

De nombreux individus furent victimes de ce massacre. Alors que tout le monde pensait à la manière de fuir ce village, je fus plus préoccupé par Azusa-chan. Partant immédiatement à sa rencontre, je pus remarquer que sa vie était encore sauve et qu'elle ne semblait pas en phase terminale de la maladie. Effectivement, elle était dans une petite cave avec une température anormalement basse. Le froid avait sûrement réduit la vitesse de propagation du virus dans le corps d'Azusa-chan. A ce moment, je compris comment vaincre le poison du champignon. En effet, il fallait user des très basses températures afin de tuer les micro-organismes. Alors que j'allais mettre mon plan en action, j'aperçus mon frère qui se promenait dans la cave. Enfin, je savais que ce n'était pas de la promenade ni un hasard. De ce fait, j'accourus le plus vite possible afin de le rejoindre pour tenter d'arrêter ses agissements. Je savais parfaitement ce qu'il voulait faire, tuer celle qui était déjà prisonnière de son destin. Si un simple souffle pouvait détruire tout le village, mon frère voulait stopper cela par le chemin le plus facile et rapide. Une fois à côté de lui, je criai de toute mon âme. Cependant, il était trop tard. Son arme était rempli de sang, celle que j'aimais était étendu par terre juste devant mon foutu frère. J'étais abattu, mes larmes ne purent s'empêcher de couler. J'avais découvert ce qu'était la véritable tristesse, un sentiment douloureux, trop douloureux.

L'acte de mon frère me résigna alors à le détester plus qu'autre chose. A chaque regard vers lui, ma colère montait. L'envie de le tuer régnait dans mon esprit, cependant, je me retenais. C'était quand même mon frère, je ne pouvais faire grand chose. Mon amour pour lui était presque aussi grand que celui envers Azusa-chan...De plus, il agissait pour le bien du village alors que moi, je me contentais d'un acte personnel et égoïste. Mais même en pensant cela, je ne pouvais dégager la sensation de haine. Je m'adressais peut-être normalement à lui, mais je le faisais de force. Mais depuis la mort d'Azusa-chan, mon comportement, mon caractère, tout changea. Cependant, je lui promis une chose. Je vivrai pour elle.


Cycle 2 : Tu ne peux pas savoir si la vie est ennuyeuse rien qu'en ayant une première impression



Quatre ans plus tard, j'avais réussi à me remettre de la mort d'Azusa. Le village avait pu survivre et s'était facilement reconstruit puisque le virus avait pu être éradiqué. Cependant, une étrange sensation s'était développée en moi durant ces années. « C'est ennuyant...Rien ne se passe. » En quelque sorte, je commençais à regretter l'absence de défis, ou d'actions. Mon sang souhaitait probablement bouillir un peu plus. J'étais sûrement ce type de personnage, derrière ce côté mignon et chétif que je laissais paraître. Cela me faisait rire intérieurement, surtout lorsque je me rappelais cet événement qui causé la mort d'Azusa. Cependant, je ne pouvais rien y faire, la vie m'ennuyait vraiment. De plus, j'avais beau demander une nouvelle fois l'apprentissage d'un art de combat, c'était le refus immédiat.

Alors, je continuais ce que faisais. J'aidais les gens dans la joie et la bonne humeur. Les requêtes étaient toutes différentes les unes des autres, cela pouvait aller de « Va me chercher un truc à bouffer dans l'coin ! » à « Si tu le veux bien, tu pourrais m'aider à couper du bois ? » Bien entendu, je n'étais pas le genre de personne à refuser une demande juste à cause de l'impolitesse d'une personne. Je faisais tout ce que je pouvais, non pas par obligation, mais parce que j'en avais envie. Oui, je savais que les gens du village avaient un bon fond, bien qu'impolie ou autre, par conséquent les aider me rendais aussi joyeux, un peu.

Donc, pour la première requête, je lui avais fait un petit quelque chose, étant doué en ce qui étaient tâches ménagères. Pour la seconde, j'étais quand même un peu surpris en premier temps. C'était rare que les femmes me demandaient de l'aide, j'avais probablement l'air peu fiable. Cependant, d'une c'en était une, de deux, je ne la connaissais pas. Elle n'était pas du village, ou venait juste d'emménager. Cela dit, je n'étais pas sur mes gardes, son franc sourire faisait en sorte de me rassurer.

Je commençais alors à apprendre comment couper du bois, m'enfin, c'était plus des petites bûches que de véritables troncs. Pour ce faire, il me fallait utiliser un certain outil permettant de trancher la bûche en deux. J'avais donc une hache pour faire ça. Manier une telle chose me rappelait instinctivement mes peu de leçons sur le maniement du sabre. Certes, la sensation était différente, le poids n'était pas réparti dans le tout le corps de l'arme, mais juste au bout. Cependant, en soi, la prise en main me semblait identique. Sans vraiment le remarquer, je tranchai alors la bûche de bois avec une technique lié au sabre, une que j'avais dû mémoriser sans pour autant réussir à le faire dans le passé. Bref, suite à cela, je laissais sortir un franc sourire de réussite.

Comme étonnée, la personne qui se trouvait à mes côtés arrêta subitement son action, et continuait de me fixer. J'avais l'impression d'avoir fait quelque chose de mal, tellement que je ne pus m'empêcher de demander ce qui n'allait pas. Puis je n'eus pas la réponse expectée. « Non, rien. Dis...Tu pratiques non ? Je veux dire, tu manies le sabre non ? Tu es plutôt bon pour une personne de ton âge, réussir à exécuter un mouvement pareil avec une hache...Oui, pour sûr, tu es bon. »

Bien sûr, je ne m'attendais pas à une telle réponse, mais j'étais en quelque sorte heureux. J'étais heureux d'entendre dire que j'avais un peu de talent dans l'art du maniement du sabre. J'aurai aimé que mon père entende cela, mais au final, je ne pouvais pas les désobéir. Je ne pouvais pas non plus mentir. « En vérité, j'ai pas le droit de pratiquer ! J'ai dû faire un mouvement par chance, mes enseignants disent que je n'ai pas la corpulence pour ça, ni même le talent. Et puis, je ne peux pas vraiment dire le contraire, je n'arrive même pas à suivre leurs mouvements à eux ! »

Pour dire vrai, j'avais compris d'où venait mon erreur quand je tentais d'effectuer mes mouvements. Au lieu de ressentir toute la lame de mon arme, je ne faisais que l'agiter bêtement. Manier une hache tout en essayant d'effectuer une technique de bretteur m'avait fait comprendre ce détail qui était la clé de la réussite, mais c'était trop tard désormais. Ma famille n'attendait sûrement plus rien de moi à propos de cet art du combat. De plus, je ne voulais pas les déranger pour si peu, surtout si ma théorie ne s'accordait pas avec la pratique. Bref, au final, je n'eus donc pour réponse qu'un simple : « Emmène moi les voir. »

J’acquiesçai ensuite avec un hochement de tête, puis la menai jusqu'au dojo. Dès que la rencontre entre cette femme et mes professeurs se fit, je me mis un peu à l'écart. En effet, cela bougeait un peu, on aurait plus dit une dispute qu'un simple pourparler. Me tournant alors vers les autres membres de la famille, je leur faisais mon expression de « je suis désolé » accompagné d'un sourire gêné.

A la fin de l'entretien de la dame et des enseignants, ces derniers ne me dirent qu'une chose : « Gamin, ne la revoie plus jamais. Oh, et ne fais plus le con. » Ma gêne s'effaça pour laisser place à un triste sourire. Ma famille était vraiment plus sévère après moi depuis l'incident du virus. J'étais comme rejeté au sein du groupe. J'avais l'impression que plus personne n'avait d'estime pour moi. J'avais l'impression que je ne comptais plus pour eux.

Quelques jours plus tard, je n'en pouvais plus. Je ne pouvais plus vivre de cette manière. Je devais tout à ma famille, mais depuis ce désastre qui s'était produit au village, rien n'arrivait à réellement me faire sourire. Rien n'arrivait à faire sourire mon âme. Tout n'était que forcé, je pleurais même encore depuis tout ce temps. Et je lâchais alors une véritable larme, quittant mon foyer pour errer sans but. J'avais même quitté le village pour me retrouver dans un autre je ne sais trop comment.

Pour survivre, j'étais obligé d'abuser de la gentillesse des personnes, mais cela ne suffisait pas. Je devais aussi offrir mes services aux peu d'individus qui pouvaient reconnaître mes capacités physiques. Certes, je n'étais pas très très fort, mais j'avais de la technique, et j'apprenais rapidement, ce qui pouvait être une bonne chose pour certains cas.

Cependant, ce n'était que de la simple survie. Je ne m'amusais pas non plus en faisant cela. Ce n'était pas excitant. C'était loin d'être ce que j'imaginais. C'était même pire que de vivre dans la frustration. Vivre dans la misère, je ne m'attendais vraiment pas à ce que ce soit si douloureux, si difficile. Malgré tout, ce n'était pas une raison pour abandonner. Je ne devais pas mourir, je lui avais promis.

La chance me sourit plus tard. J'avais rencontré de nouveau cette dame, celle qui avait perçu mes talents de bretteur. D'un air interrogatif, elle vint alors me voir tout en me demandant ce que je faisais à cet endroit. Dès lors, je lui expliquai toute mon histoire, ainsi que la raison de ma fugue. En ayant entendu cela, la demoiselle s'exclama. Elle disait qu'elle allait prendre soin de moi, et toutes ces conneries. Vu la situation dans laquelle j'étais, je ne pouvais vraiment pas refuser.

L'air triomphant de la dame était alors peu commun. Elle avait même dit qu'elle allait m'apprendre à me battre. Je n'étais pas tout à fait certain de ce qu'elle pouvait faire, mais j'étais quand même un peu excité. Je m'étais dit que j'allais peut-être vivre la vie que j'espérais après tout ce temps.


Cycle 3 : La vie n'est qu'un test



Seize ans, j'étais devenu un peu plus mature, mon physique s'était aussi superbement développé. Je n'avais rien à voir avec qui j'étais étant enfant. Seuls mes caractères souriant et aimable étaient restés. Bon, il est vrai que j'avais encore la mentalité d'un enfant parfois, surtout quand je feintais avoir peur, cela m'amusait, mais j'avais réellement grandis.

L'entraînement que je recevais de la dame était plutôt respectable, j'avais réellement réussi à maîtriser l'art du sabre, du moins un peu. Elle m'avait aussi enseigné la navigation, et tout un tas d'autres trucs utile. Cependant, notre manière de survivre était quelque peu cruel. Certes, on vivait dans le luxe, mais ce n'était pas notre propre richesse. En effet, la dame vivait en pratiquant le vol, et j'étais donc obligé de la suivre et de faire pareil si je voulais suivre ses entraînements. Cela me déplaisait fortement au début, mais après, je m'y étais habitué. Oui, j'étais trop habitué au vol et à cette richesse. Ayant goûté à la pauvreté ultime ainsi qu'à une forme de richesse, je ne pouvais plus me passer de cet argent facile.

De plus, j'avais développé des ambitions, ou plutôt, ma professeure me les avait réveillées. Mais elle n'avait pas fait naître que cela, elle avait aussi changé mon caractère, un peu. Ainsi, je développai un but. Je voulais prouver ma valeur, je voulais vraiment montrer que je valais quelque chose, que je n'étais pas juste une sous-merde. Pour montrer à ma famille qu'elle avait fait erreur à mon sujet, je voulais devenir une véritable légende vivante.

Bref, mes exercices avaient changé vu que j'avais quelque peu réussi à apprendre les bases d'un style qui m'était propre. Durant une année entière, je me consacrai donc à l'entraînement dans la nature, qui me renforçait surtout physiquement. Ma technique au sabre n'évoluait pas tant que ça, mais mon physique si, pile ce qu'il me fallait. Ma force, c'était ce qui me manquait, au point même où mes parents ne voulaient pas que je pratique l'art du combat. Cela dit, avec tout ça, j'étais loin de ce que j'étais auparavant. Certes, ce n'était pas encore tout à fait ça, je n'avais qu'une puissance moyenne, mais c'était déjà beaucoup mieux.

Un jour, on s'était arrêté dans un petit village. Il se faisait tard, et on devait donc passer la nuit à cet endroit. Lorsque je m'étais endormi, j'avais comme une mauvaise impression. Au sein même de mon rêve, je me sentais mal. De plus, j'entendais aussi une voix qui répétait sans cesse : « Désolé, à toi de faire le reste maintenant. » J'avais un mauvais pressentiment, mais je n'y faisais pas trop attention, j'étais bien trop absorbé par les actions que je faisais dans ce rêve.

A mon réveil, j'avais enfin compris. Ma professeure n'était plus là, elle avait littéralement disparu. J'avais beau la chercher, je ne la trouvais pas. Seulement, quelques heures plus tard, l'aubergiste vint à moi et me légua une étrange boussole, et un bokuto parfaitement adapté à ma taille. C'était un cadeau de ma professeure. Un cadeau d'adieu. Je n'avais même pas eu le temps de la remercier pour tout ce qu'elle avait fait pour moi qu'elle était déjà partie. Ma petite partie égoïste ne pouvait pas le permettre. J'étais obligé de la chercher, de la trouver, et de lui dire ce que je pensais. Elle m'avait sauvé, ce n'était pas rien. Mes sentiments envers elle n'étaient pas une illusion, ce n'était pas non plus un mensonge, c'était bien réel, et surtout, ils étaient vraiment énormes.

Au fur et à mesure, j'avais des pistes sur la position de celle que je cherchais. J'avais encore de nouveaux indices, et je savais maintenant où me diriger. Seulement, je ressentais une sensation des plus étranges mais aussi, mystérieusement familière. Je me posai alors pour la nuit dans un village avant d'aller joyeusement à la recherche d'informations. Cependant, la tentation d'aller à la rencontre de la source de ce sentiment qui m'étreignait le cœur était trop forte. J'étais obligé d'aller voir ce qui se passait. Plus j'avançais, plus mon corps sentait des vibrations. De plus, la pluie arriva et sans tarder, un orage volumineux se déclencha. Je courus ensuite, laissant mes doutes de côté. La surprise, cette chose qui pouvait donner goût à tout. Le suspens, un cas unique qui donnait vie aux sensations. Entre autre, c'était la vie en elle-même. Cette dernière était la chose que j'avais perdue, d'une façon ou d'une autre. Il était donc temps pour moi de rencontrer l'ignoble obstacle de mon excitation.

D'un épais sifflement, mes oreilles bourdonnaient. Cri de guerre et d'enlèvement se combinaient. La voix d'homme couvrait quasi-totalement celle d'une jeune fille. Les sons d'une marée de sang retentit, suivit de celles des bruissements aériens d'une fine lame pour finir avec un hurlement de douleur. Un combat, un enlèvement, qualifiez ceci de n'importe quelle manière, c'était un moment sans pitié. J'aperçus alors l'homme qui avait causé l'apparition des bruits digne d'un combattant maniant le sabre. Sa cible n'était pas bien loin, soit la personne se tenant face à lui portant une jolie demoiselle, soit la jeune fille elle-même. Je ne pus m'empêcher d'accourir vers elle pour stopper l'avancée du guerrier. Mais quelques questions se trottèrent alors dans ma tête, m'arrêtant dans mon élan. Essayait-il de l'enlever ou de la sauver ? Avais-je réellement fait le bon choix ? Ne m'étais-je pas mis en plein cœur d'un réel combat ?

Oui, j'étais devenu un peu plus fort, cela dit, je n'avais encore jamais participé à un vrai combat. Je commençais à avoir un peu peur. Je n'arrivais plus à réfléchir correctement, et quand bien même, je n'eus le temps de réfléchir qu'un homme m'ordonna d'anéantir le perturbateur. N'ayant son regard uniquement dirigé sur le personnage qu'il essayait de sauver, c'était plutôt facile pour moi de dégainer mon arme pour l'asséner un bon gros coup. Un autre homme assez âgé fit alors son intervention, il utilisa une sorte de coup qui finit par atterrir dans le dos du personnage en face de moi, qui se retourna alors. D'instinct, l'attaque était partie tout seul. Mon bras, mon corps tout entier réagit à la demande du grand monsieur et j'effectuai ainsi un coup d'estoc en direction de la tête de ma cible. Cependant, l'endroit entre les deux yeux ne fut transpercé. Mon coup avait beau être parfaitement exécuté de sorte que l'individu ne puisse esquiver, il réussit tout de même à bouger sa tête un minimum. De ce fait, je ne pus qu'érafler que le dessous de son œil. Un autre type profita quand même de cela pour l’asséner un grand coup devant mes yeux. Le garçon était certainement condamné.

Une fois cet ignoble acte passé, j'avais compris une chose. Je m'étais attaqué à la mauvaise personne. J'avais aussi compris une autre chose. Le combat était réel, ce n'était pas un simple entraînement. Les gens pouvaient mourir. Je pouvais mourir. Seulement, après une telle chose, je ne pouvais pas non plus rester les bras croisés. J'étais quelqu'un qui aidait les autres, mais cette aide ne devait pas se faire pour un mal sans objectif. Malgré tout cela, mes jambes refusèrent de bouger. J'étais paralysé. J'avais compris la vraie signification du combat.

Je mis une heure complète à m'en remettre, mais grâce à cela, ma détermination ne put qu'augmenter. Je devais devenir encore plus fort afin de pouvoir affronter ce type de pirate. Pirate ? Oui, je ne m'étais jamais posé la question. Les pirates étaient-ils tous ignobles ? J'en riais de cette pensée. Tout ce que je savais, c'était que certains pirates étaient à la fois riche, célèbres, respectés, libres et forts. De plus, ils cherchaient des trésors, et étaient encore plus riches. C'était peut-être la solution qu'il me fallait. Je ne savais pas pourquoi, mais cela me paraissait excitant. Aider les autres, c'était quelque chose. Combattre, c'en était une autre. J'avais été pris par surprise la dernière fois, mais cela ne se reproduira plus. Après tout, j'aimais me battre même si je ne le montrais pas forcément.


Cycle 4 : L'ennemi d'hier, d'une manière ou d'une autre, est l'ami d'aujourd'hui



J'avais donc décidé de faire partie des pirates. Je voulais juste me battre et devenir une véritable légende, et vivante, ça serait encore mieux. A mes dix-huit ans, je me semblais prêt à partir à l'aventure. Cela dit, avant de me lancer dans les mers, je voulais voir s'il n'y avait pas une personne prête à me rejoindre. Je pouvais partir seul, mais à deux, c'était sûrement plus amusant. D'ailleurs, je pouvais entendre des rumeurs sur un sabreur qui pouvait être à la hauteur de mes attentes. Il était aussi affilié à un dojo. Mais j'entendais aussi quelque chose d'étrange à son propos, comme quoi il aurait trahis les siens et serait devenu un vil pirate.

Je devais m'assurer de tout ça. Après quelques recherches, je réussis à trouver cet homme. Sans savoir pourquoi, j'avais l'impression de l'avoir déjà vu. Mais bon, ce n'était pas la question, il fallait que je lui demande si l'aventure l'intéressait. Une fois ceci fait, il me lança un étrange regard. Je l'avais déjà vu, j'en étais sûr. Malgré le fait qu'à présent, il avait un cache-œil, c'était bien lui, le type qui tentait de secourir la demoiselle. Un sentiment de culpabilité me prit, et je me fis attaquer tout à coup. Il m'avait peut-être reconnu, mais je n'en étais pas tellement sûr. De son visage, j'avais l'impression qu'il voulait juste être tranquille, et tuer tout ceux qui le dérangeaient.

Par réflexe, je pus éviter la blessure mortelle en me protégeant avec mon bras gauche. Cependant, ce n'était pas que superficiel, c'était bien profond. Mais je devais me battre et le raisonner, je savais qu'au fond de lui, il n'était pas cruel. Il avait tenté de sauver quelqu'un, il ne pouvait être quelqu'un de diabolique. Je dégainai alors mon sabre pour pouvoir me mesurer à lui correctement. Si mes coups d'estocs servaient de feintes, j'enchaînais surtout avec des frappes du côté non tranchant de ma lame, pour le mettre au sol et lui retirer sa lame. Il ne réussit pas à me mettre d'autres blessures profondes, mais je peinais tout de même à le frapper. Il était bon, comme les rumeurs le disaient.

Après un déséquilibre dû à une feinte, je réussis finalement à faire ce que j'entreprenais. Je pus alors percevoir des larmes qui coulèrent de son visage, ainsi qu'entendre ces quelques mots provenant de sa voix fléchissante : « Tue-moi... » Je culpabilisais encore plus après avoir entendu ça, mais je le voulais encore plus dans mon équipage.

« Dis...Tu renonces à la vie aussi facilement ? Je sais bien que non, je te croyais déjà mort quand je t'ai vu blessé au sol l'an dernier. Pardonne moi, je ne savais pas, je n'aurai pas dû jouer aux héros ce jour-là. Cependant, tu t'es relevé. Tu es encore en vie. Et pourquoi donc ? Je le sais bien, au fond de toi, tu refuses d'abandonner et tu te bats encore. Alors qu'est-ce qui te retient ici ? Ta famille ? N'as-tu pas été rejeté par celle-ci ? Je suis sûr que tu ne l'as pas trahis, mais qu'elle t'a rejeté après être revenu sans cette demoiselle. Tout le monde te voit comme un déchet à présent ? Ce n'est pas grave, tu n'as qu'à leur prouver le contraire. Tu aimais cette demoiselle, viens avec moi, je t'aiderai à la retrouver. J'offrirai tout mon aide possible pour que tu réussisses à la retrouver. Je ferais tout ce que je peux pour t'aider car je ne te méprise pas, je ne te déteste pas, je t'admire même un peu. Alors, qu'en dis-tu ? Veux-tu...Devenir mon compagnon ? »

Je lui tendis ensuite la main, mais celle-ci fut rapidement mise à l'écart par la sienne. J'avais été rejeté. Je ne pus qu'effectuer un triste sourire de cette acte, je le voulais vraiment en tant que compagnon, en tant qu'ami.

«  - Dommage...
- Dis moi juste pourquoi je devrais suivre un type qui a aidé à l'enlèvement de cette fille ?
- Parce que je suis déterminé à la sauver, elle, que ce soit avec ou sans ton aide. J'ai commis une erreur, je veux la réparer. De plus, je serais aussi un type qui...Marquera son nom en tant que légende vivante. Alors, tu n'es toujours pas tenté de partir à l'aventure ?
- Tss, ne me fais pas rire, toi une légende ? Fais le moindre faux pas, et je te tue. Mais qu'on soit clair, je ne te suis pas. Tu m'aides à la retrouver, une fois ceci fait, tu disparais. »

De cette réponse, j'en tirais cette fois-ci un sourire satisfait. Sans vraiment savoir pourquoi, j'avais réussi à ce qu'il devienne mon allié, un compagnon. J'étais en quelque sorte heureux qu'il revienne dans le droit chemin. On s'échangea alors nos noms, et on prit la route après que l'on s'était soigné. On remonta les pistes afin de tenter de trouver des indices sur la personne qui fit l'enlèvement. Tout ça nous laissait qu'un lieu, une île autre que celle où l'on se situait. Récupérant dès lors un bateau convenable, on se mit en quête de retrouver sa princesse, avec les indices laissés sur les lieux de l'enlèvement.


Cycle 5 : La fin d'une histoire signe souvent le début d'une nouvelle



C'était sur un petit chant que l'on accostait sur l'île où se trouvait le kidnappeur. Évidemment, on allait certainement pas le croiser comme ça, mais on savait au moins qu'il logeait à cet endroit. Tout ce qu'il nous restait à faire était de flairer des pistes afin d'obtenir ce que l'on cherchait. Cela dit, c'était loin d'être aussi facile. En arrivait sur l'île avec pour seul indice le nom de cette terre.

Malgré tout, la chance nous souriait. Un groupe de pirate faisait beaucoup parler d'eux au sein d'un village en particulier, et il y avait de fortes chances que ce soit ceux qu'on cherchait. Bravant alors le peu de danger qu'il s'y trouvait, on atterrit à la base de ces brigands. Cependant, aucun d'eux n'avaient le physique recherché. Oui, je me rappelais encore très bien du physique des personnages ayant emmené la demoiselle, je m'étais comme forcé de les garder en tête.

Mais je refusais d'abandonner, j'étais certain que ces types avaient un lien avec nos proies. Au début, je voulais leur demander bien gentiment, mais dès qu'ils nous avaient attaqué, j'employai aussi la manière forte. D'une première attaque à la tête, je me débarrassai d'un opposant. Cependant, à cause de coups de feu en rafale en ma direction, je fus séparé de mon partenaire en évitant les balles par la gauche. Je me retrouvai ensuite face à trois individus armés d'un fusil. Ne voulant pas les laisser agir, je me chargeai sur eux pour que leur instinct naturel leur persuade de ne pas tirer ou bien justement, de le faire, ce qui n'aura aucun effet à cause de la très mauvaise visée. Passant alors derrière eux, je leur assénai un coup chacun, ce qui put les mettre hors d'état de nuire.

Dans l'ensemble, les pirates n'étaient pas bons du tout. Ils étaient faibles au point même où je pouvais les prendre seul. Cela dit, la donne changea lorsque les renforts étaient arrivés. De loin, j'avais reconnu l'homme le plus âgé, celui qui semblait aussi le plus fort d'entre tous. Mon camarade, l'ayant aussi aperçu, ne put contenir sa colère et se fraya un chemin pour aller l'attaquer directement. Cependant, cela me semblait étrange, ce pirate n'avait pas peur, il semblait même heureux. Il souriait. Je m'en étais rendu compte trop tard, j'avais beau crié sur mon partenaire, c'était déjà fini. Son corps fut transpercé par la lame de celui qui était sensé être sa proie, puis juste après, sa tête roula sur le sol comme un vulgaire cailloux. « Le chasseur chassé. »

Mon seul ami avait péri devant moi, en partie à cause de moi. J'essayais de ne pas m'énerver, mais c'était trop dur. Mon esprit était vide et mon corps réclamait vengeance. Mon corps réclamait la tête de ce personnage, un bandit valant cinq millions de berrys. En temps normal, j'aurai adopté la fuite, mais cette fois-ci, je ne pouvais pas. Je ne bougeais plus que par instinct.

Me débarrassant au plus vite possible des larbins, je me mesurais au pirate primé. Rapide, c'était rapide. Son premier coup m'avait déjà touché. Cependant, je ne me laissais pas abattre, j'avais pu percevoir son attaque. La prochaine fois, je pourrais le contrer. J'avais discerner la vitesse qu'il avait mis dans ce coup, et celle-ci se révéla être approximativement la même pour le suivant. De ce fait, je pus esquiver puis frapper sur sa côte gauche.

Bloqué. Je ne l'avais pas encore eu, et je fus même surpris qu'il put parer. Seulement, si je restais comme ça, c'en était fini. Je continuais alors d'attaquer. Mon assaut ne fit pas mouche, je dus opter pour un coup plus basique, un estoc, c'était comme ça qu'on l'appelait. Mais cela fut facilement éviter par le monsieur qui put ensuite m’asséner une attaque au visage. Heureusement, j'eus le réflexe d'éviter la blessure létale, et m'en sortir alors qu'avec une simple éraflure. Dès lors, je ripostais.

Même si la moitié de mes coups était paré, et l'autre moitié esquivé, je continuais à faire face. A un moment, je me trouvais dans une position plutôt délicate. Mon adversaire n'allait pas se laisser faire jusqu'au bout, et décida d'en finir à ce moment. Pourtant, ce ne fut pas le cas. D'un mouvement complexe, je pus tournoyer et passer dans le dos du jeune homme. Ceci me permit d'effectuer une attaque qui fit changer la tournure du combat. J'avais réussi à lui briser quelques os, par conséquent, il ne bougeait plus aussi bien. C'était gagné. Sachant cela, j'avais réussi à me calmer suffisamment pour pouvoir le questionner.

« Où est la fille ? Dis le, et je te laisserais peut-être en vie. »

Sa réponse ? Un grand sourire démoniaque, et une charge désespérée. Je savais ce que cela signifiait. C'était fini pour elle aussi. Je mis donc l'assaillant au sol, et l'immobilisai afin de pouvoir prendre mon temps. Les autres, soi-disant camarades du pirate primé, n'osaient pas agir en ayant vu que leur capitaine avait perdu contre moi. Je me dirigeai donc vers mon défunt camarade et lui prit son arme.

« J'espère que tu l'as retrouvé. »

Je revins alors vers le type au sol qui semblait encore heureux. J'avais l'impression qu'il souhaitait périr ici. J'avais aussi l'impression qu'il était complètement fou. En tout cas, j'étais encore énervé, je n'avais pas mon sourire habituel, ni même de la compassion envers lui. Dans ma tête, les mots « Tue-le. » résonnaient sans cesse, jusqu'à ce que je lui tranchai la gorge, et plantai le sabre de mon ami dans son cœur. Ensuite, je partis sans même me retourner, lâchant de lourdes larmes, et récupérant le corps de mon ancien partenaire au passage.

Quelques mois plus tard, j'avais réussi à m'en remettre. Ce n'était sûrement pas la seule mort d'un compagnon d'arme que j'allais voir. J'étais bien obligé de me fortifier, même si cela faisait toujours aussi mal. Entre temps, j'avais découvert à quoi servait la boussole que m'avait offerte ma professeure. C'était un log pose, qui me permettait de naviguer au sein de Grand Line. Avec ça, c'était comme une invitation pour y aller. Elle me disait presque : « Je t'attends quand tu seras devenu fort, rejoins moi là où les plus grands se trouvent. »

J'avais donc décidé d'aller tenter ma chance seul. Je n'avais pas envie d'être dans un équipage avec ce qui s'était passé, je voulais d'abord naviguer sans compagnon. Cependant j'avais bien l'intention de devenir fort, de devenir une légende.

Voilà, c'était bien raconté pas vrai ?

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MessageSujet: Re: Shaporo || Just smile and steal ~ [100%]  Shaporo || Just smile and steal ~ [100%] EmptyMar 17 Fév - 9:33

Hello,

Alors plusieurs qualités dans ta fiche c'est vrai. Presque pas de fautes et beaucoup de détails ! ^^ Attention tout de même à ne pas faire trop long. J'ai l'impression de lire des détails qui ne permettent pas d'avancer l'histoire. D'autres détails m'ont cependant poussé à te mettre la note de 160PA.

D'abord, le fait qu'à 7 ans (si j'ai bien compté) ton personnage trouve comment soigner une terrible maladie. C'est lourdement exagéré d'autant plus que ton personnage n'a aucune notion de la médecine et reste très jeune et n'est pas un surdoué. Il ne perd jamais ses combats et à 18 ans, il se fait presque à lui tout seul un équipage de pirate et arrive à tuer le capitaine qui est primé. Shaporo est doué certes, mais je pense que son jeune âge ne pouvait pas lui donner une telle facilité. Aucun os cassé, presque aucune blessure... Aucune difficulté qui apparaît réellement.

De même le caractère ne présente presque pas de défaut. Lorsqu'il y en a un, il est tourné de façon à ce que ça devienne pratique. Par exemple : il est émotif, du coup ça lui permet de mieux combattre. L'histoire est également très shonenesque, un peu trop puisque jamais de défaite pure.  Je passe plusieurs autres détails mais voilou ! ^^ J'apprécie tout de même ton écriture et plusieurs détails de ton histoire comme son frère qui a tué la bien-aimée. Il aurait fallut davantage développé ce conflit plus qu'autre chose. Beaucoup de bonnes idées un peu oubliées dommage. Manque d'originalité et de background.

Pour moi 160PA, le surnom je n'ai pas d'idée. On verra plus tard, je n'ai pas l'impression que ce soit nécessaire ou alors au prochain membre du staff à en trouver un ! ^^ Pas de prime également pour moi.

Voilou voilou, en attente d'une seconde validation.
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MessageSujet: Re: Shaporo || Just smile and steal ~ [100%]  Shaporo || Just smile and steal ~ [100%] EmptyMar 17 Fév - 11:59

Thank ya o/
Pour info c'est a dix ans qu'il voit la défection du virus ^^
Sinon, pour les passages qui auraient pu être développés, j'ai fait exprès de ne pas détailler pour le faire dans certains de mes Rps x)
Après je sais que j'écris parfois pour rien xd
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MessageSujet: Re: Shaporo || Just smile and steal ~ [100%]  Shaporo || Just smile and steal ~ [100%] EmptyMer 18 Fév - 19:17

Je rejoins ma collègue sur ce qu'elle a dit sur ta fiche.

C'est bien écris, le style est bon, pas beaucoup de fautes, même si, à quelques endroits, surtout dans l'histoire, j'ai trouvé ça moins fluide qu'ailleurs mais bon, c'est du détail.

Le problème, c'est le personnage, je le trouve plutôt étrange. Sa personnalité est pas la mieux construire possible. Tu associes des notions antinomiques ensembles, il est gentil mais il est pirate qui sait être méchant ? Ça manque aussi de gros gros défauts dans son comportement, même s'il est émotif et naif, c'est tourné de façon a été moins gênant que ça devrait être, comme Hay te l'a souligné.

Mais le plus gênant, c'est que ça frise avec le GB à certain moment, donc faudra faire vraiment attention à ça dans le jeu. Comment est géré l'épidémie j'ai trouvé ça très étrange, et surtout la solution trouvé. Ton perso' est théoriquement incapable de ça.

Malgré tout, ça reste une fiche tout à fait correct. C'est pour ça que tu t'en sors avec 160 PA de ma part, tu pars donc avec ce montant. Quand au surnom, tu seras connu sur le nom du Whippersnapper Wink

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